La dépression : les informations sur cette maladie

La dépression désigne une maladie dont la manifestation centrale est un état mental caractérisé par une lassitude importante, une dépréciation de soi, un pessimisme qui entraînent des perturbations importantes dans les rapports psycho-affectifs.

La dépression est une maladie fréquente, qui affecte presque 20% des gens au cours de leur vie, et qui marque une rupture avec le fonctionnement psychologique habituel de la personne. Le risque évolutif le plus grave de cette pathologie est le suicide, en particulier quand la dépression n’a pas été détectée et prise en charge.
Ainsi, près de 70% des personnes décédant par suicide en France souffraient d’une dépression le plus souvent non diagnostiquée et traitée.

Il ne faut pas confondre la dépression avec ce qu’on appelle familièrement le coup de blues ou la déprime qui traduisent une tristesse passagère qui est normale dans une situation difficile.

femme avec comme maladie la dépression

Les différents types de dépression : 

Trouble dépressif majeur
Cela signifie une dépression caractérisée avec de nombreux symptômes.
Ce terme est imposé par le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders)

Une humeur triste dépressive
Elle est décrite comme plus intense que la douleur d’un deuil.
La personne est sans joie et opprimé, parfois il est incapable de percevoir tout sentiment.
Chez les enfants et adolescents, cela peut se manifester par une irritabilité accrue.

Anhédonie 
Une diminution du plaisir ou de l’intérêt pour toutes activités, y compris celles qui procurent du plaisir habituellement. Les habitudes se modifient, les passe-temps sont délaissés, tout semble monotone et vide, y compris les activités habituellement gratifiantes.

Asthénie
Une sensation de fatigue ou de diminution d’énergie.

Des idées noires
Une volonté de mourir, idées suicidaires actives, avec ou sans plan spécifique, finalement tentative de suicide.

La Mélancolie
Le terme mélancolie était utilisé en psychiatrie pour caractériser un état dépressif grave et aigu présentant de grands risques de passages à l’acte suicidaires.
Il a aujourd’hui été délaissé et on utilise plus couramment l’expression : dépression majeure.

La dépression psychotique
Elles se caractérisent par des délires de culpabilité, de honte universelle, de punition, d’appauvrissement mental, etc.

La dépression hostile / agressive
La personnalité du sujet semble avoir changé radicalement. Il est devenu plus agressif, plus impulsif, ses colères sont mal maitrisées, il a des violences soudaines et inhabituelles…
Cela viendrait du fait que le sujet ne supporte plus l’idée d’être l’objet de remarques blessantes (existantes ou supposées) à son égard.

La dépression masquée
Les dépressions masquées ou hypocondriaques se caractérisent par une absence de symptômes de l’humeur dépressive avec une prépondérance des plaintes somatiques. Elles prennent souvent l’aspect d’une douleur atypique, continue, fixée, qui reste malgré la prescription d’antidouleur. Le sujet est souvent inconscient qu’il souffre moralement, c’est la raison pour laquelle il « somatise ».

La dépression anxieuse / agitée
Ces sujets courent un risque suicidaire élevé. Contrairement aux caractéristiques courantes de la dépression, l’agitation psychique et motrice sont majeures, ils sont enclins à des crises de panique.

 La dépression saisonnière
La dépression saisonnière s’installe généralement à l’automne ou au début de l’hiver et dure jusqu’au printemps.
Les symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d’intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires.
Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l’hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien, que ce soit sur le plan travail ou des relations.

La dépression du bébé
Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales. René Spitz a ainsi défini l’hospitalisme, état survenant lors d’une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, une perte rapide de poids, un arrêt du développement.
Puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l’entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique.
S’il se prolonge, il peut être à l’origine de troubles intellectuels, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd.

La dépression chez l’enfant
La dépression existe chez l’enfant, mais elle a été repérée uniquement dans les années 1970.
En effet, contrairement à l’adulte, l’enfant déprimé ne se plaint pas de tristesse ni de désespoir, et sa symptomatologie est peu bruyante.
Une conférence de consensus française a permis d’en clarifier la symptomatologie et les principes d’interventions thérapeutiques.

La dépression de l’adolescent
La dépression à l’adolescence peut parfois être caractérisée par les mêmes symptômes que chez l’adulte. On observe un trouble de l’humeur avec un sentiment d’ennui, d’irritabilité. Des troubles somatiques et des troubles anxieux fréquemment associés : phobie sociale, attaque de panique, trouble obsessionnel compulsif.

La dépression de la personne âgée
Les dépressions pseudo-démentielles se caractérisent par des troubles graves de la mémoire, de l’orientation, de la vigilance, du jugement, de régression affective,
des performances intellectuelles.

Voici nos conseils pour lutter contre la dépression :

Parlez-en à votre médecin, à un spécialiste, à un de vos amis, à votre famille.
Rappelez-vous ce que vous appréciez en vous-même, vos atouts, vos succès, vos forces, et vos qualités.
Evitez la passivité et l’isolement, sortez de chez vous pour aller vous promenez ou vous distraire.
Planifiez des activités agréables en investissant sagement un minimum d’énergie pour obtenir un maximum de plaisirs.
Développez vos relations sociales et affirmez-vous entre autres en apprenant à dire non et à exprimer des demandes de changement.
Clarifiez vos priorités et planifiez un objectif qui vous en rapproche progressivement.
Pour un deuil, permettez-vous de vivre votre deuil en pleurant afin de pouvoir par la suite poursuivre votre vie.

  1. Pour ce qui peuvent m’aider et les peu de message que j’ai pu lire Mon donner l envie de me livrée un peu peut être que ça va me faire du bien .
    Je rencontre beaucoup de problème ( je suis quelqu’un de dépensier je ne suis pas violent j’aime ma famille ( mais je ne les voit pas plus que sa )
    Je n’arrive pas à garder des amie
    Car je m’efface trop Je suis capable de rire de profiter mais je me bloque à pas trop Parler car j ai peur de ne pas m affirmer ( j’ai était timide étant jeune je pense que sa mes restée un peu )
    J arrive à dire mes opinion mais pas entièrement .
    Et ce problème je Le ressent au niveau des relations avec les filles
    Et si j arrive pas à m affirmée je ne rencontrerai de nouveau Le sentiments d’amour que jai Déjà eu mais qui c’est terminer .
    ( voila je suis capable d’écrire sa en moins de 5 Min ) et n’arriverai jamais à Le dire.
    Merci pour les réponde à venir dsl pour la lecture bon courage à ceux qui connaisse le même problème
    Et aussi aux autre Je veut etre capable d aider Mon prochain si seulement j’oublie touts ce que j’ai expliquée . ( je Le fait au jour d’aujourd’hui du mieux possible que je puisse faire )

  2. Je suis dépressive depuis très longtemps mais il y a eu des phases maintenant avec l’âĝe je suis agressive à la moindre remarque car avec tout ce que je subi de la part de ma famille et de mon mari j’ai besoin de me protéger et de les mettre à distance ,

    Je me dis que je n’ai rien à perdre a agir ainsi puisque personne ne cherche à me faire du bien mais seulement a m’utiliser ils y ont tous bien réussi jusqu’à présent sans ce rendre compte que je souffrais et que je souffre d’être arriver à ce comportement vis à vis d’eux même s’ils me font du mal. alors ma question est comment s’en sortir

  3. je suit en depression j ai perdu l apetit l envie de tout tout les jour quand je me leve et un jour de souffrance en plus j arrive pas a surmonter ma douleur que je ressent je suit suivi par un psy mais je manfonce de plus en plus et je sais pas comment m en sortir j ai perdu 8k en 10 jours et je peu pas manger je n i arrive pas jetait assez mince deja j ai peur aider moi

  4. Mon Conseil à tous les déprimés « Ne lachez pas prise et mettez vous dans la tête qu’il ne faut pas compter sur les autres pour sortir de ses problèmes. Surtout ne pas baisser les bras. Nous vivons dans la partie du monde la plus préviligiée, il faut se le dire et se le répéter plusieurs fois par jour. Commencez d’abord par aimer sa personne lui donnez de l’estime, de la valeur et dire que c’est les autres qui n’ont rien compris et qu’il ne vous méritent pas car il est certain qu’il y a sur cette terre des gens qui peuvent vous aprécier sauf que vous perdiez votre temps à vouloir concquérir ceux qui ne vous méritent pas. Soyez actifs et ne pas laisser le temps aux idées noires. Vous êtes quelqun de très importannt pour vous même et c’est ca la clé pour se débarasser de votre déprime.

  5. j’ai une dépression de fou jen peux plus jpense tout les jours au suicide 2 ans que jsort plus c’est horrible j’ai plus dpersonnalité alors qu’avant jetait bien j’avais mes amis et tout puis quand j’ai déprime j’ai tout perdu travaille amis j’ai plus rien fait chier trop honte pour parlè jaime pas me plaindre jsuis un mur c’est le néant dans ma tête

  6. J’ai 22 ans. Je souffre depuis toujours car il yen a toujours eu que pour les autres, à l’école j’étais là bête noir, à la maison aussi. Mes parents ne m’ont jamais aimés, mes agresseur à l’école étaient des amis de mon grand frère mais il ne fesait rien Pour me défendre. Mon petit frère avait tout les droit et ma petite soeur j’étais sa baby sitter, cela n’en’empêcher pas que j’avais aucun remerciement de mes parents. Je suis rejetter de partout, par ma famille, école, le monde de travail, cela fait 6 ans que je cherche ma voix. mes parents se sont débarrasser de moi à 2ô ans comme fille au paire dans une famille de bourge qui m’a obligé de maigrir, je souffrait de surpooids depuis petite. Les enfants étaient détestables, mes patrons me reprochaient des choses improbable comme ex je marchais pas assez vite quand j’accompagnai leur sal gosse à l’école. A mes 19 un garçon était sortie avec moi, je l’aimais. Il a profitait de moi, et ma humilié devant toute la région où je vivais, tout le monde ma tourné le dos, j’avais déjà sale réputation à cause de ts de ma mère ( j’ai tout fait pour l’aider, mais encore une fois les remerciment c’est pas pour moi). Mes géniteurs ont participé à aucune de mes remises de diplôme,ils m’ont endetter, voler de l’argent. Plu personnes me parle, mon copain actuel me comprends pas, je me sens encore plu seul. Et il me reproche de pas assez m’investir dans moN peremis, j e n’ai pas la force de réaliser des choses.. Je suis seule pour tout… Je suis invité nul part, ma famille me parle peu, je n’ai pas de visite, pas de moment à succès rien.. Je n’ai jamais eu de félicitations, ou de bravo. Des insultes de mes pap
    parents par contre.. J’aimerais des fois entendre de bonne chose, qu’un patron m’accepte enfin en cdi, et avoir la force d accomplir des choses… J’ai juste ka la solitude qui me tient compagnie. Les gens qui étaient des amis m’ont tourné le dos.. Je suis seule avec mon fardeau, et si un jour je me suiciderai les gens mettront des choses hypocrites sur Facebook, alors que c’est maintenant que j’aurai besoin d’une oreille ou d’une nain..

  7. Les déceptions le travail on est mal payé on arrive pas a faire ce que l on voulait la personne on aime qui on s’aperçoit en aime une autre tout a assumer seule le regard des autres de n avoir pas d enfant la honte le pouvoir d achat qui augmente quelle galère au final on passe son temps a payer les cours de conduite être zen pas succomber gérer les échecs retrouver confiance en soi gérer ses dépenses trop de pression besoin d’être épaulée au final réfléchir ne pas s’éloigner trop loin de sa famille je craque au secours j’ai cru il m aimait et maintenant pour reprendre les cours avec ça va être difficile j’aurai tellement voulu habiter avec et il m aime et ne pas rater l examen peur du temps qui passe marre des dates expiration peur de l’échec pas arrivée a gérer mon stress face a l’inspecteur et combien d’heure a repayer pourquoi n’a ton pas tous une deuxième chance de passage sans repayer

  8. La tristesse la solitude aimer une personne que je croyais m aimer fait la situation avec la crise fait on va mal on perd pied on veut faire puis les échecs rendent cela d’avoir cru être aimée c difficile la pression le besoin d’être consoler difficile la solitude j’ai cru et difficile de continuer l impression d’être nulle et faire tout de travers mon examen avec lui en cours et des imprévus ces inspecteurs stressant ce coût de la vie et trop d’exigence aux poste en anglais excel c difficile avec un budget serré

  9. Bonjour
    Je suis sous effexor depuis 1ans suite a un changemeravail….en fait j
    Ai fait ma dépression car étant depuis 4ans dans le commerce j ai changé pour aller dans le milieu de l enfance…mais grave erreur au bout de 2mois j ai arrêter j étais toujours très fatiguée
    Ma belle mere me dit tu fait une depression….moi j etais decus d etre partie
    Sachant que je n’en je ne retrouverai plus le même boulots de vendeuse…les même collègue…je travailler avec un homme la que des filles qui commenc a ce taper sur le dos beaucoup trop de boulot….pas assez…..je déteste….je peut pas partir car je sais pas et je pense au ailleurs ça sera pas mieux .

    du premier boulot ou collegue et anbiance mieux..je suis du genre a pas avoir confiancz en moi….je savais que si jevretrouver autre chose jamais ca n aurais etais pareil….du coup me voila dans un magasin ou je suiq mal a laise beaucoup de boulos comme une usine….je n y prend pas plaisir je n aime pas…strs

  10. Bonjours, j’ai 20 ans et j’ai étais suivie par le médecin car j’ai eu une dépression qui c’est déclencher lors du divorce de mes parents. Je n’ai plus de contact avec mon père depuis, j’essaye d’avancer et de me dire que tout est psychique mais c’est le cas je le sais moi même j’ai réussi a arrêter mes cachets y’a maintenant 1 mois et je déprimes. J’ai l’impression de ne plus exister que personne me comprends, que je vais tomber dans les pommes que je vais mourir je sais pas c’est un sentiment de fou j’ai l’impression de devenir folle. J’ai souvent la boule au ventre je veux plus vivre ainsi j’aimerai que tout redevienne comme avant que je ne me prenne plus la tête ainsi que je ne broie plus du noir que le goût a la vie revienne j’ai aussi des attaques de paniques, en foule j’ai même peur de sortir de chez moi des fois et sa me travaille je veux avoir la voiture pas loin de moi pour me rassurer je voudrais trouve une solution a ce soucis. Merci.

  11. J’ai 54 ans. Je vis seul depuis plus de 20 ans maintenant. Ma conjointe et moi on s’est separe alors que les enfants etaient jeunes. Elle est partie et j’ai garde les 3 enfants seul. J’avais fait le choix de mettre toutes mes energies pour eux. je travaillais fort dans des postes de responsabilites professionnelles de plus en plus grandes. J’ai tout mis dans mon travail et le soutien aux enfants en m’oubliant totalement pendant toutes ces annees. Travail 8 a 10 heures par jour et le soir soutien aux enfants quand ils etaient jeunes. Je me disait que j’avais 2 boulots. Le professionnel et le familial. Atypique pour un homme parait-il J’ai oublie tous mes amis, et je me suis investi a fond dans ma famille. J’ai refuse de me rapprocher d’une amie pendant toutes ces annees parce que j’avais peur que ca vienne bousiller notre famille qui marchait tant bien que mal…. Maintenat les enfants sont grands, partis, et ils font leur vie.
    Et là maintenant je tombe de haut, tres haut… On m’avait pourtant averti d’essayer d’avoir ma propre vie, mais j’ai toujours ignoré ces conseils me disant que c’etait moi qui avait raison et que je donnerais tout a mes enfants, ce que j’ai fait. Ils sont heureux, instruits et font leur vie…
    Et moi et bien, plus rien devant. Je perds mes moyens ma confiance en moi de plus en plus. Je suis en chute libre. On dirait que j’ai fait ce que j’avais a faire sur la terre et que ma vie est maintenant terminee. Mais le probleme c’est que j’ai seulement 54 ans et en bonne sante… Alors quoi faire maintenant. Je ne sais plus comment entrer en contact avec les autres. Aucun ami. Aucune confiance en moi pour refaire ma vie. Facade au travail. Mais qui commence a s’effriter. j’ai peur. Peur de l’avenir. Peur de moi.
    Je songe des fois que je serais mieux de partir mais quand je lis sur le sujet… Ca dit comment ca fait mal a ceux qui reste et le dommage qu’on leur fait… En plus que je vais etre bientot grand-pere. Alors, je ne sais plus quoi faire comment me reprendre.
    Bien facile les conseils prodigue, mais quand on est en depression et bien c’est justement ca le probleme…on n’a plus de courage pour se relever…meme consulter je ne suis pas capable. J’ai essaye une fois et ca n’a rien donne. Que faire…

  12. Ce sont bien des conseils venant de gens qui ne sont jamais passés par une dépression majeure :
    – Mon médecin ? Mon psy ? Mes amis ? Mes parents ? TOUT LE MONDE S’EN FOUT !! Mon psy m’oriente vers Confucius !!
    – Des atouts ? Des forces ? … C’est JUSTEMENT ce qu’on n’a pas quand on est dépressif!
    – Aller se balader ? Seule ? Vous croyez vraiment que ça change quelque chose ?
    – Se distraire … c’est une évidence … Encore seule ?
    – Des activités agréables … Faut il encore avoir un peu d’argent, parce que 700 e d’AAh par mois, on fait pas grand chose..
    – développer vos relations sociales … ça c’est le pompon … Faut il encore avoir des amis ! La dépression fait fuir c’est connu !

    Je demande une VRAIE solution, je suis à bout, c’est plus de 20 ans de souffrance.

  13. J’ai très très longtemps vecu ça et le sport m’a sauvée ! il y a des solutions, ça vaut pour ce que ça vaut mais bon courage à tous ! La vie est belle et on sait qu’apres la pluie vient le beau temps sortez, aérez votre esprit. Ceux qui preparent le bac c’est qu’un bout de papier la santé est plus importante et pour le reste je ne connais pas vos probleme mais ne decouragez pas. Il y a toujours une solution et s’il n’y en a pas il n’y a pas de probleme. Sachez que vous n’êtes pas seuls, tous les gens dans la rue, dans les transports, derriere leurs journaux, ont des problemes.
    Et n’oubliez surtout pas : LE BONHEUR AVANT TOUT !

  14. Bonjour Sol, j’ai souffert du même trouble que toi il y a quelques années au même âge. J’ai commencé à développer des vertiges surtout dans les grands espaces, qui allaient, dans de rares cas heureusement, jusqu’à la perte de conscience, qui pouvaient pour le coup être dangereuses car je n’avais même pas le temps de m’assoir ou de m’allonger sur le sol… Je psychotais me demandant si je n’avais pas une maladie. Je commençais à avoir peur de sortir de chez moi, par peur objective de me blesser. Dans mon cas j’ai eu droit à la totale au niveau médical, mes parents ayant pris le problème au sérieux. Au final tout aller bien au niveau strictement médical, c’etait dans la tete… Difficile à admettre car je n’avais jamais eu de troubles psychos avant. Avec le recul cela a dans mon cas été déclenché par un replis sur moi-même, socialement parlant, dû à ce moment là à des problèmes professionnels qu’ont rencontré mes parents (changement de villes à répétion, donc pertes des amis du collège et du primaire, puis au final cours à distance par le CNED pendant mon lycée…) De fait je passais anormalement beaucoup de temps chez moi et je m’endormais à l’heure où les gens se levaient… Et surtout je me donnais l’impression de ne pas etre stressé en fuyant toutes les situations vectrices de stress, ce qui est socialement catastrophique car on ne réalise rien. J’ai décroché mon bac (avec retard…) et je suis allé à la fac en me battant contre moi même. Dés que je sentais les vertiges, je me calmais me disant que ça n’était que psychologique. Au bout de quelques mois les symptômes ont complètement disparu. J’ai fait des études assez brillante et ma vie est globalement bien cool aujourd’hui et socialement épanouie. Bref, une situation anormale engendre des comportements anormaux… Reprends le contrôle, tu n’es pas « malade » juste hyper anxieuse, l’admettre c’est guérir, l’anxiété ça contrôle en se battant « contre soi » dans les moments où l’on se perd. Bon courage, ne t’inquiète pas Sol ce n’est qu’une mauvaise passe ;)

  15. bonjour ma mère a 39 ans et fait de la déprisions je n’aime pas la voir sou frire tout les jours a cause de son travaille et j’ai bien peur quel ne veuille se suicider si vous avez des conseille a me donner pour que je puisse la consoler ou un remède plus rapide pour la soigner PS : Le médecin ne veut rien faire pour quelle aille mieux ( a par lui donner des médicament mais cela ne fait que empirer de jour en jour MERCI

  16. Bonjour à tous , je m appelle Sol et j’ ai 20 ans , depuis l’ âge de 15 ans je souffrais de vertiges , j ai suivit plusieurs médecins on m a dit que j avais un problème d oreille interne , j ai fait des séances de rééducation. En attendant j ai formé beaucoup de problèmes dans ma vie , toutes les choses que je faisais normalement je ne le fais plus comme sortir seul ou même accompagnée , être avec les gens , fuir les situations stressantes , être en cours ou dans les salles d attente . Je suis partie en France mais ils ont constaté que j avais pas de problèmes d oreille interne , j ai fait une IRM du cerveau et aussi j ai fait une radio des oreilles , le radiologue dit que c est normal mais mon médecin Orl dit qu il y avait une pathologie . J ai vu plusieurs médecins orl mais tout le monde dit que tout est normal , j ai fait meme une radio de la nuque par ce que je penche la tête vers la gauche , j ai alors un pincement des vertèbres . L année dernière j ai eu mmon bac mais avec mon problème je refuse de partir à l’ etranger à cause de ce problème , je suis chez mes parents , je reste presque toutes mes journées à la maison , avant je déprimais par ce que je ne sais pas ou provenez mes vertiges , je ressens plus de plaisirs , de joie , je suis trop ancrée sur moi même , depuis une semaine j ai des problèmes d endormissements , je dors très tard vers 5h du matin , et c est quelque chose de nouveau le faite de ne pas dormir tout mon moral a changé , ma fatigue physique et psychologique a complètement changé , je ne reflechie plus comme d habitude , je me sens très fatiguée ,faible , j ai la sensation que je vais tombée dans les pommes , oppression , anxieuse , mon thorax et mon corps sont très crispée , j ai l impression de me battre avec ma propre personne , je suis devenue hypocondriaque ,je ne sais plus quoi faire AIDEZ MOI

  17. comment sortirr de la svp est ce grave ?vais je devoir aller dans un centre pour sa?

  18. J’ai 58 ans et je suis dépressive depuis l’âge de 20 ans.

    Cela a commencé alors que je venais de réussir mes examens de maturité (l’équivalent du bac français). Je n’avais pas de projets pour la suite, et la proposition d’une amie de travailler ensemble dans un bistrot, puis de faire un voyage avec l’argent gagné me semblait une bonne idée pour prendre le temps de réfléchir à mon avenir professionnel.
    j’ai exposé ce projet un soir à mes parents. Ils n’ont pas du tout apprécié: cris, larmes, menaces… et puis ils sont partis se coucher.
    Seule dans ma chambre et les nerfs en boule, je suis sortie faire un tour pour me calmer. J’ai marché longtemps dans la campagne et j’ai été attaquée par un homme qui passait par là.

    À partir du lendemain, je suis devenue anxieuse, insomniaque et paumée. Ca n’a plus changé. je n’ai pas été serveuse de bistrot, je ne suis pas partie en voyage et je n’ai pas trouvé la profession qui m’aurait peut-être rendue heureuse.
    Je carbure aux somnifères et aux anti-dépresseurs (dose max), j’ai vu plusieurs « psy » mais aucun n’a réussi à me redonner goût à la vie.
    Je m’accroche à mon mari comme à une bouée de sauvetage. Comme il est sympa, il me supporte encore, mais il fait parfois de longs voyages en moto (pour s’oxygéner, sans doute). Je le comprends, mais ça me rend malheureuse, car, avec le temps, je suis devenue de plus en plus solitaire, et quand il n’est pas là pendant plusieurs jours, mes démons me hantent.

  19. Bonjour ou bonsoir tout le monde, au moins il nous reste la politesse à défaut de vouloir seulement partager la « détresse ». Pour ma part je me sens plus côté
    -Anhédonie
    -Asthénie
    et quelques idées noires
    Ce qui est déjà pas mal pour un début qui dure depuis un moment.
    Bah en fait j’ai même plus envie d’écrire.
    Aller au revoir ,ou pas.

  20. Coucou !
    J’ai envi de pleurer tout le temps, ma famille me manque, et je n’ai pas vraiment d’amis, on me « taquine » avec des sujets qui font mal.
    J’en ai marre qu’on se foute de moi. J’ai 10 ans.
    Je sais pas quoi faire, devant les gens je suis contente mais quand je suis seule je deprime. J’aime pas etre toute seule, et on me laisse toute seule. Du coups je deprime, on me laisse a l’ecart, du coups voilà.
    Je me sens un peu mieux car sa c arranger avec les amies mais je deprime toujours…
    On parle derrière mon dos aussi. Je ne sais pas si c’est du a sa. Aide moi !

  21. Eh bien! Quand je lis un peu tout ca je me sent mieux =) y a pire que mon petit coup de blue.

  22. Bonjour

    Cela fait plus d’un an maintenant que je me sens vide, plus goût à rien, alors je me remplis de bouffe, et me mets devant un écran car un écran ça permet de ne pas penser. Je suis actuellement étudiante dans une ville universitaire, j’ai vécu deux ans avec un homme, nous avons rompu, mais cela ne m’a pas plus affectée que ça… J’ai l’impression de n’avoir plus de sentiments « positifs », je me sens trop lucide sur les gens qui m’entourent: la nature humaine me révulse et surtout me fait très peur… Je me suis fait des ami(e)s, lesquel(le)s ont été présent(e)s pour moi lors de la rupture, mais je devais supporter leurs egos, leurs attentes immenses (notamment du côté des filles), et devais bien sûr montrer une gratitude parfaite à leur égard… Je leur suis reconnaissante de tout cela mais le rapport intrusif qu’ils ont eu dans ma vie (pourquoi tu te bouges pas, tu comptes retourner en cours un jour, t’en es où de ton mémoire…), ou plutôt le rapport que j’ai perçu comme intrusif a fait que je m’en éloigne… J’ai peur d’être seule et en même temps je rêve de ne plus fréquenter qui que ce soit car la moindre petite chose, le moindre petit manque de respect ou de politesse me plonge dans un désespoir total. Il y a aussi des amis dont je ne veux pas perdre l’estime, envers qui je paraît aller bien (je fais très souvent le ménage dans mon appartement, me lève tôt quand ils dorment chez moi afin de leur faire croire que je travaille…) car j’ai peur que, voyant que je ne me « bouge » pas, ils me laissent tomber…

    J’ai de gros problèmes pour dormir, moi qui avais le pouvoir de m’endormir n’importe où n’importe quand, je pleure dès que je suis seule avec moi-même, j’ai des idées suicidaires (j’ai déjà eu ce genre d’idées à l’adolescence, mais là c’est complètement différent: à 15 ans je me complaisais dans mon mal-être, là je me dégoûte profondément, ma faiblesse est telle que j’en ai perdu mon identité, moi qui voulais être une bonne personne, je ne sais plus comment agir d’une manière correcte, je n’en ai même plus vraiment envie, je suis juste extrêmement fatiguée…), et afin d’éviter de penser, je bois le soir, afin de m’assommer… C’est pathétique, je sais, et je me trouve répugnante.

    Je n’arrive plus à aller en cours, alors que je suis en fin d’études, car j’ai peur des réactions des professeurs (lesquels sont trop présents à mon goût, trop intrusifs), de mes camarades (les amis intrusifs dont je parlais plus haut), et de toute façon mon esprit ne parvient plus à réfléchir, je fonctionne au ralenti…

    J’essaie vraiment de sortir, de rencontrer des gens, de rire… Mais chaque personne que je rencontre me paraît fade, tellement commune, je vois immédiatement ses défauts, ses tics de langage… Je sais que je ne suis pas objective, mais je n’ai réellement plus goût à rien, et donc plus de « surprise » face aux nouvelles personnes, je ne vois plus ce qui fait d’elles ce qu’elles sont… J’essaie vraiment d’autant plus que je ne veux pas inquiéter mes parents, qui financent mes études… Ils savent que je n’étais pas bien, mais pour les raisons « concrêtes » (parcours de master qui ne me correspond pas, après la rupture avec l’homme avec lequel je vivais, celui-ci est sorti avec une amie à moi, la voisine, qui était tout le temps chez moi donc je me suis sentie trahie par elle…), pas pour ce mal être étrange qui me bouffe…

    J’ai lu les conseils du site et vais aller à la piscine, il faut bien essayer de nouvelles choses. Je suis également allée voir les liens concernant les psychiatres de l’AFTCC et vais prendre rendez-vous dans ma ville…

    Je veux m’en sortir, je veux redevenir cette personne forte et bonne sur laquelle on pouvait compter, qui était capable de réfléchir et d’écouter les gens, de se concentrer sur une discussion, qui aimait la vie et surtout chaque individu, malgré ses défauts! Donc ce message a pour but non seulement de vider mon sac, mais aussi d’encourager les autres personnes qui comme moi souffrent réellement… Je souhaite de tout mon coeur aller mieux, vivre à nouveau et non plus plus faire semblant!!!!!!!! Bon courage à tous ceux qui sont dans une situation similaire.

    Manon

  23. Bonjour,

    Je suis âgée de 58 ans, célibataire sans enfant et sans plus aucune famille.
    Suite à une rupture très douloureuse fin novembre 2012, je n’ai plus aucun goût à rien, je n’ai envie d’absolument rien
    J’ai rompu tout contact avec les quelques relations que j’avais car je n’avais plus envie de parler, de voir les gens, de les écouter : comme je ne fais rien de ma vie je me juge inintéressante et je pense constamment à mon ex qui ne veut plus avoir aucun contact avec moi
    Après 8 ans de relations il m’a rejetée d’une façon la plus violente et humiliante qui soit et ne sait même pas si je suis morte ou vivante
    Il a refait sa vie avec une femme plus jeune (qui a toutes les qualités elle ! comme il m’a dit !
    Je me sens vieille, moche, dévalorisée, abandonnée ne valant plus rien
    Je ne travaille pas, je vis du chômage
    Je n’ai aucune force pour chercher du travail et d’ailleurs à mon âge ! Et avec la tête que j’ai à présent! (et d’ailleurs je n’ai aucune qualification précise)
    Ma vie de résume avec beaucoup d’efforts à aller faire quelques courses basiques et rentrer chez moi
    J’ai à peine la force de prendre une douche 1 fois par semaine et le ménage de temps en temps qui me demande un effort considérable
    Dès que je suis chez moi, quasiment tout le temps, je m’enferme, je prends des anxiolytiques, de l’alcool (1 ou 2 bouteilles de vin), je fume beaucoup jusqu’à ce que je me trouve dans un état « second » qui apaise mes angoisses et me fait un peu oublier ma vieille personne, mon existence et cette vie qui n’en est plus une du tout !
    La plupart du temps je ferme mes volets vers 15/16h et je passe l’après midi, la soirée et la nuit souvent car je dors mal à regarder la TV

    Je sais que je suis en train de mourir peu à peu ; je vis comme un animal dans son terrier ; je suis complètement désocialisée mais je ne recherche pas du tout la compagnie des autres
    Je sens que les choses empirent peu à peu, je glisse vers un trou noir tous les jours 1 peu plus
    Je cois que les seules paroles que je prononce dans la semaine c’est pour acheter mes cigarettes !!!
    Je ne sais pas ce que vous allez penser de mon cas ; ça me fait du bien de vous l’écrire car j’espère que ça évitera à d’autres de tomber aussi loin dans la dépression qui me semble irréversible dans mon cas
    Peut être un jour pour moi , le déclic pour en finir complètement viendra : au fond, je l’espère car je n’espère plus rien de moi et de ma vie sans futur sans projet
    J’ai aussi honte de moi d’être ainsi : tant de gens, tant d’enfants souffrent de maladie, de handicap, de la guerre de tas de choses et, eux ont la force de se battre et de vouloir croire en un avenir
    Je suis désolée de mon impudence à leur égard, mais moi je n’ai plus la force ni l’envie de rien
    Merci si vous avez eu la patience de lire mon témoignage
    Ne tombez jamais aussi bas que moi : battez-vous quand vous le pouvez encore ! VIVEZ ! Car quand on est au plus bas dans sa tête que je le suis, je ne pense pas que l’on puisse se relever

  24. cela fait ving ans que je suis depressive ;j;ai besoin qu on m,aide;j ai tout perdu;je me retrouve desocialise sans personne:seul evec cette maladie qui me qpousse vers ma fin

  25. Je ne sais pas comment dire…Depuis que j’ai découvert que ma femme me trompait, je suis tombé dans un forte dépression. J’ai du mal à être seul, je pense tout le temps à la mort, je suis faible…je me sens bête, ignorant, inutile…On a 3 enfants, j’ai peur de les perdre en même temps j’ai envie de divorcer…Parfois pour le fuir, je bois…ça me rend de plus en triste…mon coeur bat très fort, je tremble et suis pris de panique quand je veux faire une nouvelle chose, j’ai envie de fuir, de me jeter sous un train…j’ai peur de tout, même d’un homme qui passe dans la rue…Je me promène dorénavant avec un couteau parce que j’ai tout le temps peur…triste sort! Moi qui voulait faire de ma vie une vie meilleure…Quand on n’avait rien, ça marchait bien entre nous. Dès que l’on a eu quelque chose, elle s’est faite des ailes: sortie avec son amant dans les hôtels et restaurants les plus chics, à 2 minutes de la maison alors que je suis entrain de m’occuper des enfants…je suis devenu ultra jaloux…Son amant a menacé de la tuer…Il ne l’aime plus…Il a aussi 3 enfants et vit avec sa femme…Elle n’a jamais voulu arrêté mais l’autre dit vouloir tout arrêter…Il m’a écrit un email afin que je puisse la dissuader de continuer avec lui. Sinon, il va lui faire du mal. elle fait maintenant semblant mais elle aime toujours…

  26. bonjour je m’appelle bernard je veux battre ma dépréssion je vois tout en noir aussi je crois dans ma tête que je veux mourrir me suicider et je veux ma dépréssion aider moi s’il vous plait

  27. bonsoir,
    j ai vécu 7 mois avec un jaloux parano, pour lui, je regardais tous les hommes, je ne pouvais pas sortir seule, ne pouvais pas rentrer dans un magasin de vetements pour hommes, meme si c etait pour lui acheter un polo, je ne devais plus voir ma soeur car elle m obligeait selon lui a etre trop libre voila j en passe car meme pour aller au toilette dans un resto, il était inquiet j avais surement regardé un homme avant de revenir m assoire; il a meme provoqué des histoires à un gars qui attendait de régler ses achats celui ci aussi il te regarde oui oui c est sure. j ai tout essayé, l hironie, la sagesse, l humour mais rien n y faisait de jours en jours cela s accentuait. Depuis 5 mois on est plus ensemble mais j ai dégusté avant de comprendre qu il est malade, et le pire c est que je prenais ca pour de l amour ho il est jaloux, comme c est agréable de se sentir aimé!!!! Faux c est de l enprise affectif j étais son trophé et comme il était généreux cadeaux bijoux vetement je devais le payer d une manière merci j ai payé plus qu il ne fallait et le psychisme en prend un coup, car on se culpablilise. Moi qui aime rire sourire plaisanter je mettais fermé pour lui faire plaisir, mais ca ne suffisait pas. J ai de nouveau envie d etre moi meme, celle qui s est perdue, il y a 1 an MERCI d aimer la vie j ai eu peur de tomber en dépression a force de ruminer il me traitait de menteuse, qu il n avait pas confiance en moi comment faire notre vie ensemble si tu n as pas confiance alors il me répondait bein je sais pas je t aime. Je suis divorcée et je voulais reconstruire ma vie jamais je n ai eu envie de le tromper, et je suis plutot réservé avec les hommes. Voila quel gachis et je pense qu il n a pas fini de faire mal autour de lui si il ne se fait pas soigner merci de me lire

  28. Bonjour a mathieu pour qui je connait tres bien le probleme car je suis moi aussi passé par là. Aujourd’hui je me sent mieux avec des régle plus saine dans ma vie.
    Si tu ve en parlé n’éxiste pas a me le faire savoir je te répondrais sans probleme

  29. Bonjour,

    besoin d’aide…depuis un an je sombre puis je refais surface, puis resombre etc etc…horrible.
    J’ai stoppé les AD car ils m’ont ravagé (j’ai quitté la seule femme qui m’ai jamais donné autant d’amour comme un mal propre / aborder des femmes dans la rues quand j etais saoul…)

    Ma therapie se passe bien MAIS le psy n’a jamais voulu mettre un nom sur mon mal, il me laisse tout gérer
    (j’analyse « trop » bien)

    Brigitte ?? vous associez abandon avec souffrance. C est exactement mon pb.

    Merci de votre lecture

  30. moi je vais pas bien depuis 1 an , les choses s’empirent , je n’est de gout a rien , me suis completement renfermée , je ne reagit pas

  31. Bonjour, je suis passée par toutes ses phases depuis petite.Pas encore tirée d’affaire ais beaucp mieux. Je peux peut être vous aide r
    Contacter moi
    carole

  32. je n’arrivve pas à sortir de ma dépression .Sous AD depuis sept.dernier j’ai de moins en moins d’énergie du mal à sortir de chez moi aucune envie .J’aimerai mourir pourtant des enfantsque j’aime .Je ne sais plus réagir.Je m’en veux d’être ainsi mais je n’arrive à plus rien .Je n’en peux plus que faire ? je n’étais pas comme ça.J’ai eu des dép.Aidez-moi ?

  33. je suis désemparée car mon fils de 22 ans n’a plus envi de rien faire il n’est vraiment pas bien mentalement. Ce soir il a rdv avec le médecin, j’espère qu’il ira mieux.

  34. Je me reconnais dans tous vos témoignages et je me dis que vous qui avez dans votre épreuve été soutenus par votre entourage ont beaucoup de chance, en ce qui me concerne, ma famille a préféré fermer les yeux et me culpabiliser alors qu’ils n’ont jamais été là pour me soutenir, c’est beaucoup plus facile de fermer les yeux sur la souffrance d’autrui, on se protège et on a bonne conscience. J’ai toujours été exclue et dans les pires moments, je devais encore souffrir de me rendre compte que pour être bien vus par l’entourage qui leur convient il a toujours bien plus honorable d’être à leur disposition pour les écouter et de m’entendre dire « qu’ils sont si gentils ». Hormis le fait que j’ai affronté seule des épreuves qui auraient peut-être « été plus supportables » si j’avais ne fut-ce que pu pleurer sur une épaule bienveillante
    j’ai souffert et souffre encore car quand dans mon coeur j’associe souffrance et abandon. Je continue à accumuler tracas et chagrins, tout cela me ramène au sentiment d’horreur que pour cette famille je n’ai jamais existé. Et ce qui est dur c’est d’être considérée comme quelqu’un qui n’est pas positive, qui se plaint toujours, les remarques me reviennent et je ne trouve même pas la force de me défendre car c’est bien eux qui m’ont enfoncée. Pour ne donner qu’un seul exemple, jamais ne sortira de mon coeur le jour où je suis partie seule avec un être d’Amour au crématorium ,alors que mon chagrin était tel que j’ai agit comme un robot, et de m’entendre dire qu’on n’avait pas le temps, temps qu’on a trouvé pour le consacrer à ceux qui sont appréciés. Je garde de cela hormis tout le reste un sentiment horrible, je n’ai jamais fait mon deuil, tout cela fait partie du présent, j’ai encore du rendre des comptes par rapport à mon immense chagrin et supporter de surcroit l’indifférence et les commentaires. Je sais qu’à force d’encaisser jour après jour toutes ces épreuves, quoi que j’essaie d’imaginer pour m’en sortir, je n’ai plus envie de vivre ,ai perdu l’appétit, me lever est une épreuve et la seule raison qui me pousse encore à le faire sont mes animaux qui me rendent l’amour que je leur donne sans compter, un vrai dénué de tout reproche, et même cela a toujours été sujet à controverse alors qu’il sont en admiration vers ceux qu »ils apprécient et qui font de même. J’ai fait une longue psychothérapie avec un psy qui lui-même m’a fait beaucoup souffrir et je ne crois plus en eux. N’ai jamais bien supporté les anti-dépresseurs car vivant seule je n’ai jamais pu faire face aux effets secondaires, j’avais le sentiment que j’allais me suicider et j’arrêtais mon traitement pour essayer de garder un tant soit peu mes esprits. Je vous remercie de m’avoir lue et peut-être que quelqu’un pourra m’éclaire un peu. Merci

  35. voila moi je déprime je n’ai jamais faim je suis aller voir un psy mais rien mon psy ma pas du tout aidé même je c’est pas pourquoi mes je crois qu’elle ma encore plus enfoncé dans la déprime,a faire emplus mes amis du collége me f’ont la geule je n’est plus envie de rien j’en est marre.

  36. voila ma fille qui a 17 ans fait une grosse dépression elle est sous antidépresseur mais pour l’instant je ne voit aucune amélioration tout se que je voit c’est que ma fille est toujours seule na plus d’amis elle a peur de tout du monde de sortir seule etc elle na plus confiance en elle pourtant elle aimerait bien faire quelque chose mais ne peu pas elle n’y arrive pas tellement elle a peur c’est terrible on ne sais plus qu’oi lui dire n’y quoi faire car elle nous dit personne ne peu m’aider car personne ne me comprend et défoit elle nous dit je préfèrerait en finir je suis désespérée !! elle ne veut pas allez a l’hopital que faire ??

  37. Olala .. moi j’ai vécu cette maladie ou plutôt je la vis encore la en ce moment mais moi , qui est 11 ans , c’est plutôt dur a vivre pour moi même les autre je suis sur que sa doit pas être différent .. mais bon le fait c’est que avant moi j’était pas , mais pas du tout comme sa , et brusquement un changement -‘- ! Evidemment sa m’fait bizarre et je m’était posé bien des questions mais mon psy il a su me répondre après , il ma expliqué un peu les chose et maintenant j’y voit plus clair . J’espère pour tout ceux qui en souffrent maintenant qu’il se rétabliront très vite et pour ceux qui on en souffert mais avant de profiter maintenant , je suis contente pour eux :)

  38. Sa fait maintenant quelque temps que je suis dépressif et j’ai beaucoup de mal a  »essayer  » de faire ce qui est en mon possible de faire pour aller mieux . Comme , par exemple , sortir , voir mes amis … au contraire ces temps ci , j’ai trouver une solution tout a fait nuisible qui est de me cloîtrer chez moi et de regarder la télé avec ennuie au lieu d’aller en cours et travaillez , chose évidente vu que je ne ressent pas le plaisir de faire les choses mais bon … je me rend coupable de
    ma situation actuelle et sa ne fait que me mettre encore plus mal en point . Je pense tout de même que le fait de n’avoir jamais tenté de me suicider est un bon signe , d’ailleurs je m’occupe souvent pour ne éviter d’avoir des idées noire .

  39. la fille de mon mari ne veut plus venir , elle dit ne plus vouloir me voir pour l’instant. Cela fait un bon mois, je m’en rend compte aujourd’hui mais c’est à partir de ce moment la que mon mari à commencé à moin me faire l’amour jusqu’à un jour ou il l’a dit qu’il ne savait plus s’il m’aimait encore il ne veut plus faire l’amour avec moi. je lui ai demandé s’il avait quelqu’un d’autre il a dit non et je le crois. Je pense à une dépression car il ne sait plus ou il en est. Pouvez vous m’aidez car moi j’ai l’impression que je suis en train d’en faire une je ris et puis 5 mn après je pleure et je n’arrive plus à beaucoup manger

  40. ben voila je n’ai plus envie de rien tout m’ennuie je n’ai lus d’appetit tout me degoute et je n’arrive ps a manger et j’ai beu penser afaire des trucspourme distrire mais je ne vois pas rin ne me fait envie

  41. Je vie de se mal moi aussi j ai deux petit garçon que j aime,j ai le goût de terminer ma vie j ai 42 ans une suite d événement perte emploi suite à une fermeture perte de collègue suite à un suicide et aussi ces situation mon faîte ressortir des choses du passer qui fon encore mal je m imagine pas vivre encore 5,10,15,20 ans et toujour me sentir mal comme ça en dedans je souffre,oui mes enfants je les aimes mais comme je suis la je ne suis pas utile pour eux ,ils ont une maman extraordinaire pour s occuper de eux . Un homme qui souffre

  42. Un bon article et de bons conseils qui vont aider pas mal de gens à se débarrasser de ce fléau, voici également d’autres solutions naturelles qui donnent également de très bons résultats : (url)

  43. bonjour, J’ai une fille au prise avec cette affreuse maladie et c’est très difficile pour elle et pour moi qui se sent très inutile…. si il y a une maman qui vit une situation comme la mienne et qui veut partager son vécu avec moi ça me ferais du bien d’avoir des petites idées…

  44. Je fais une depression psychotique apparament Apres une rupture et un avortement tardif, j’ai envie de mourir, cet homme je l’aime et il me manque malgré une relation de galere de 2ans ! Il m’as beaucoup fait souffrir a cause de son passé etme rabaisser sans arret ! je n’ai plus envie de sortir voir mes amies, plus cette envie de vivre ! PLus gout a rien ! je reste enfermé dans ma chambre h24 a pleurer, à vouloir me suicider, je fais ca loin du regard de mes parents ca je ne veux pas qu’il souffre et surtout leur montrer que je ne vais pas bien du tout! Ma famille me voit souriante et heureuse mais tout ca n’est que de la comédie. en moi je suis morte, je ne veux plus de copain, plus d’enfant, plus rien ne m’interesse !!!
    j’ai besoin de parler d’avoir un avis exterieur,mais je ne sais pas vers qui me tourner, un psychologue? ma famille? une amie?? Je ne sais pas, alors je me renferme sur moi meme et cogite (ou essaie) et pleure dans mon coin, jusqu’a e que la mort m’emporte (je suis obseder par la mort, je prefere mourir que de vivre cette douleur) !! salut

  45. votre article ma bcp touche d autant plus ke je souffre de depression dpuis pluisiers annees.personnes nest mort autour de moi mais on dirait tout comme jais limpression ke chaque jour ki passe est le dernier et cela menpeche de vivre pr tout dire je survit ici en afrik cet une maladie tabou alors mon seul refuge se trouve dans la priere .elle peut survenir a nimporte kel moment et elle etraine ainsi dotre maladie je perd lappetit le gout a tte chose mm a la vie perte de poids sen suit mal destomac desespoir total tristesse absolue bref en ce moment je vit un veritable calvaire

  46. bonjour jai une arriere grand mere qui a maintenant 81 et fait de lexymer et oublie tout mais elle a commencer a blamer sa fille quelle volent ses cle de char elle vole des pain des plats ect… alors sa fille ne dit va pas pour une semaine et tout va bien elle retourne sa va bein pour un semiane mais apres elle rapelle par telephone et lui crie apres quelle a encore voler.. sa fille se trouve a etre ma grand mere et mainteant elle se sent pas bien et ne amnge kesment pas fil pas se sens a vomir elle croit p-t sller sur un depression mais je ses pas koi faire ou lui dire si il y a un solution je croit que sa la blesse trop que sa mere lui fait sa .. je mionquiete beacoup npour elle …. jaimerai avoir des reponse

    mercii beaucoup

  47. « l’espace d’une vie est le même qu’on le passe en chantant ou en pleurant », proverbe japonais.

    Votre message m’a touchée Catherine. J’ai envie de vous dire que tout ceci n’est pas de votre faute, l’autisme de votre fils n’est pas votre faute. Votre faute est de vous faire souffrir et de culpabiliser. Cessez tout cela, cessez de vous en vouloir et d’en vouloir à votre mari. Tournez vous en vous-même et nourrissez votre esprit par des activités qui vous plaisent, sans attendre de résultats en retour. Prenez soin de vous, prenez soin de votre corps, réconciliez-vous avec votre corps et vous verrez que tout naturellement vous vous réconcilierez avec vous-même. Prenez du temps pour vous et rien que vous, pour cultiver votre jardin intérieur. Courage, je sais que vous n’en manquez pas pour vos enfants; n’en manquez plus pour vous-même. Je vous envoie mes pensées de lumière.

  48. je suis dépressive depuis 21 ans quand mon bébé afait des convulsions et un arret cardiaque.Mon mari m’a délaissé je suis sous médicaments je vais reguliérement voir ma spycologue mais rien n’y fait j’ai toujour envie de mourir pourquoi survivre on ne sert à rien mon fils que j’ai faillit perdre est agé de 22 ans il est devenu austite asperger sourd probléme neurologique trouble du comportement j’ai du gerer toute seule son handicape j’ai arreté de travailler car aucune nourrice n’acceptait mon fils ma vie c’est ecoulée heureusement que j’ai deux autres enfants car moi je n’en voulais plus j’était perdu je résiste pour eux car ils ont besoin de moi je vis avec un mari que je deteste de m’avoir abandonnee je veux pas partir pour ne pas faire de mal à mes enfants il y a 21 ans j’aurai du partir seul avec mon bébé refaire ma vie mais j’avais subit un gros choc beaucoup de choses que je me rapelle plus des trou dans ma mémoire j’essaie de passer le permis depuis 2 ans je n’y arrive pas il me le faut pour sortir car je reste enfermer chez moi seule dans le calme j’ai envie de voir personne tout m’enerve tout le j’en enveus à tous j’ai envie de me fraccasser la téte dans les murs j’ai envie d’hurler ma douleur profonde qui empire avec l’age j’ai toujour la photo ancrée dans ma mémoire de mon fils faisant des convulsions je ne pourrais jamais accepter ce qu’il est devenu un enfant de 22 ans qui est agé mentalement de 3 ou 4 ans aidez-moi j’ai besoin de soutient de réponse de dialoguer avec des personnes me comprenant je vous remercie de m’avoir lu çà m’a fait du bien d’écrire cette lettre merci encore

  49. J’ai vécu une période vraiment noire dans ma vie. Une période que j’aimerais oublier, mais qui pourtant, reste gravée dans ma mémoire.
    J’ai 15 ans, et l’année dernière, je suis tombée dans une dépression qui à vraiment faillit mal finir. La mort m’obsédait, je n’avais plus envie de faire quoi que se soit, je voulais être seule. Je voulais qu’on me laisse tranquille et mes amis ne comprenaient plus ce qui m’arrivait. Mes professeurs me trouvaient changé et sans vie. Intérieurement, j’étais morte, je ne ressentais vraiment plus rien, je pensais vraiment que mon cœur était devenu une pierre. J’ai perdu 10 kilos et la nourriture ne m’inspirait plus que le dégoût. Mes parents ne voyaient rien, je dois dire que je cachais bien mon secret devant eux, car cette histoire ne concernait que moi.
    Tout ceci, à cause d’une personne. J’étais amoureuse et puis j’ai fini par être en adoration. A tel point que j’eus voulu me suicider.
    Un ami a su m’ouvrir les yeux sur la réalité, et pour cela, je lui suis entièrement reconnaissante. Ça a prit du temps, beaucoup de temps et même encore aujourd’hui j’ai du mal à regarder vers l’avant et à être heureuse. Mais je vais mieux, je n’ai plus envie de mourir.
    Je me suis malheureusement mise à fumer. Je fumais beaucoup juste après ma dépression et puis maintenant, j’ai bien réduit. J’ai toujours du mal à manger, car depuis cette période, je n’ai plus aucun appétit. Et la clope remplace parfois des repas.
    Mais la vie reprend le dessus petit à petit…
    Je n’ai qu’une chose à dire après avoir connu tout ceci : NE PERDEZ PAS ESPOIR.

  50. J’me renferme sur moi meme en me disant que jsert a rien jai esseiler de tout faire pour ne plus pensser a rien mis c ‘est dire aji esseiler tout les conseille aucun de euh marche .

  51. Aujourd’hui,très mal,tout seul,fait semblant que.Laisses passeer un jour après l’autre.

  52. salut a tous je POUSSE a tous un cri De COURAGE et D ESPOIR !

    on ne vie qu 1 fois, LA vie n est pas bleu ou blanc MAIS avec toutes ses couleurs, j ai connu une deprime avec tout les symptomes, j ai faillis mourrir !
    10 ans apres j ss guerir non ,MAIS j ai appris a me battre SANS prendre de medicament MAIS on trouvant une bonne personne pour parler petit a petit sa ma beaucoup aider ,Sur cette terre on est pas seule ,je ne pense pas qd puisse guerir d une depression MAIS apprendre a vivre avec ! et se dire qu est pas les seules a souffrir ! ossez on parler calmement sans honte on ne sert pas a rien si on est la c est pour une raison dite vous sa ! c est jusqu on passe des moments difficiles prener COURAGE et GARDER espoir ,et ayer au moins une personne a votre ecoute la vie c est combat de tout les jours ! et remplit de bonne surprise qui vaut vraiment la peine de VIVRE on a tous cette chance et vous seule savez au fond de vous ce que vous voulez !bye

  53.  La dépression saisonnière
    La dépression saisonnière s’installe généralement à l’automne ou au début de l’hiver et dure jusqu’au printemps.
    Les symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d’intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires.
    Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l’hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien, que ce soit sur le plan travail ou des relations.

    J’ai remarqué que mon collègue de travail ce trouve dans la catégorie de la dépression saisonnière et je me demandait comment l’aider pour l’aider !!!!!

  54. La dépression : les informations sur cette maladie

    « La dépression désigne une maladie dont la manifestation centrale est un état mental caractérisé par une lassitude importante, une dépréciation de soi, un pessimisme qui entraînent des perturbations importantes dans les rapports psycho-affectifs. »

    Bonjour,

    Voici ,repris ci-dessus mon état d’esprit depuis……….presque toujours (j’ai 50 ans).
    Parce que je suis pudique et réservé de nature, mes amis et mon médecins ne pensent pas que je soit dépressif.
    Personnellement je sais que je le suis profondément dans la mesure où ma dépression n’est pas acquise suite à un traumatisme bien identifié (avec un avant et un après …) mais installée tout au long de mon enfance et, en conséquence, inhérente à ma personnalité.
    Aujourd’hui après quatre années de psychanalyse et plusieurs psychotérapies je suis résigné à vivre avec …le moins mal possible mais sans espoir « d’en sortir » un jour.
    Cela reste toutefois un vrai regret !
    Laurent.

  55. La dépression hostile / agressive
    La personnalité du sujet semble avoir changé radicalement. Il est devenu plus agressif, plus impulsif, ses colères sont mal maitrisées, il a des violences soudaines et inhabituelles…
    Cela viendrait du fait que le sujet ne supporte plus l’idée d’être l’objet de remarques blessantes (existantes ou supposées) à son égard

    Mot pour mot la dépression d une proche..
    Dans ce cas impossible de lui dire le moindre mot sans qu elle se croit critiquée, commandée. Impossible de la pousser à consulter.
    Completement parano, elle trouve toujours un prétexte à son état nerveux, agité et méchant..il y a eu son ex, son père, sa soeur qui l énervaient..il y a toujours une raison d être dans cet état. Cet ap midi « une médium » lui a dit que cette mauvaise racine qu elle avait en elle, c était un sort de sa soeur qui était jalouse d elle…. dans la connerie on ne fait pas mieux..
    Il y a 19 ans ça a commencé par du stress, suite à son 1 job, elle acommencé à perdre ses cheveux au point d être presque chauve et en arret maladie.
    Le docteur lui a proposé de consulter un psy,elle a répondu qu elle n était pas folle. Petit à petit elle est devenue de plus en plus agressive, toujours insatisfaite.. En ce moment impossible de lui parler sans qu elle se croit agressée c est devenu plus que pénible. J ai fait l idiotie de lui preter de l argent, quand elle a du le rendre, elle était certaine que je voulais qu elle m en rende plus, que je voulais la voler..

  56. Bonjour,
    merci pour cet article. Il manque cependant 2 conseils importants:

    CONSEILS POUR LES DEPRESSIFS :
    (en plus de ceux cités ds l’article)

    1- essayez de faire du sport. Son efficacité est supérieure à celle des antidepresseurs et il n’y a pas d’effets secondaires.
    http://www.redpsy.com/infopsy/exercice.html

    2- n’hésitez pas à consulter un psy compétent, pas juste un medecin qui se contente de prescrire des antidepresseurs ou un psy sans plan d’action qui se contente de vous écoutez (et évitez les psychanalystes qui marient inefficacité et gouffre financier!).
    Les thérapies de loin les plus efficaces contre la depression sont les TCC (Thérapie Cognitives et Comportementales). C’est ce qu’a montré le rapport de l’INSERM sur les psychothérapies commandé par le ministère de la santé:
    http://www.aftcc.org/documents/inserm/Synthese_INSERM.pdf?PHPSESSID=d59c35d074320a66a35826524c68750a

    Malheureusement peu de psy maîtrisent les TCC mais vous trouverez sur le site associatif suivant une liste de psy par département formés à ces thérapies (préférez les psychiatres de la liste, ils sont remboursés contrairement aux psychologues) :
    http://www.aftcc.org/membres_carte.php?PHPSESSID=d59c35d074320a66a35826524c68750a

    Je suis sûre que vous parviendrez à soigner votre dépression en suivant ces 2 conseils. Pour plus d’info sur les TCC vous pouvez lire les livres de Christophe André par ex ou encore consulter ce blog fait par une patiente qui raconte sa thérapie :
    http://monautreblog.blogspirit.com/

    Peut être pensez-vous que votre cas à vous est particulier, sans espoir. Il est très courant de penser ainsi quand on est en depression. Mais si, cela se soigne, et l’efficacité des TCC dans le traitement de la depression a été maintes et maintes fois prouvée. Il faut compter 6 mois pour une depression majeure, à raison d’un rendez vous par semaine, et moins bien sûr pour une depression de plus faible intensité.

    Un dernier truc pour les moins atteints d’entre vous (ceux qui ont encore un peu d’énergie): inscrivez-vous au site internet ovs (on va sortir), c’est le booster idéal pour se forcer à sortir et à voir du monde:
    http://www.onvasortir.com/

    Bon courage à tous dans votre guérison je l’espère rapide.

  57. Bonjour, je lit le message de « DEL » et je suis dans le même cas, pourrions nous en parler.
    Cordialement

  58. Bonjour

    j’ai besoin d’aide, je vis une dépression et je suis traiter sous anti dépresseur et anxiolitiques?j’ai des pbs d’alcool, de scarifications des bras et des TOCS d’hygiène. Je voudrais me faire hospitaliser mais je ne veux pas aller n’importe ou. Pouvez vous m’aider et me donner desclinique ou maison de santé qui sont bien , j’ahbite en région parisienne

    Merci pour votre aide

  59. grace ,j’ai 18 ans je suis dans le même cas que toi, même en parlant avec un spécialiste ca ne change RIEN DU TOUT; j’ai suivie des traitement mais a la fin du traitement tout recommencé…j’avait des amis mais la je ne vois plus personne depuis 2 ans sauf ma mere et mes colègue encore… JE NE SAIS PLUS QUOI FAIRE

  60. Je vis une rupture difficile, j’ai perdu le goût à la vie, je n’ai plus envie de rien et des idées suicidaires sont constamment présentes dans ma tête. Je n’arrive plus à sortir de chez moi, j’ai perdu mon boulot, ma vie n’a plus aucun sens. Je souffre!

  61. j ai plus en vie de rien , je me sens depassée ,incapable, je manque de con fiance
    je suis tout le temps triste ,je veut tjrs m isoler ,je suis devenu agressive surtout avec maman ce qui double mon peur et ma tristesse
    je sens desssssssss douleurs quelque part en moi ce qui double mes idées noirs,le vide que je sens dans ma vie et surtout que jai perdu mon pere lorsque j avais 15 ans ,et ma mere la pauvre elle fait tout pour m aider a m ensortir et a me plaire et je lai jamais donner la contre partie;elle la seule personne qui me donne envie de poursuivre .
    Comment je fais pour s’ensortir de ce mal qui m’entoure ??je me sens vraiment perdu ………..
    que quelqu’un m’aide!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  62. Bonjour,
    J’ai 36ans,je n’ai plus envie de rien.Je me sens mal en public je perd tout mes moyens je n’arrive pas a gerer mes emotions.j’en ai marre de tout,j’aurais envie de partir loin pour soulager mon entourage affectif je ne me supporte plus,j’ai pri beaucoup de poids ces 3 dernieres annees je suis tjrs en train de grignoter!!!
    comment sortir de ce mal etre???

  63. je suis un homme de 45 ans qui a eu dernièrement des problèmes personnels. je suis déprimé et je n’arrive plus à rester dans les différents endroits très longtemps il faut que je sorte. comment pourriez-vous annalyser mon comportement personnel ?

  64. je suis dépressif depuis plus de 4 mois, après avoir perdu mon boulot, j’arrive plus de sortir de chez moi.
    comment faire pour sortir de chez moi?

  65. Bonjour, j’ai 16 ans et je crois être dépressive: je suis facilement irritable voir assez agressive lorsque j’ai le courage de sortir de ma chambre. Je sens en moi une douleur qui me remplit de tristesse et d’idées noires, qui m’empêche de trop m’approcher de quelqu’un et de nouer de vrais liens d’amitié et qui m’enmène jusqu’à en pleurer. Je n’arrive pas à me confier à exprimer mes sentiments et surtout à en parler (là ça m’a encouragé parce que personne ne sait qui je suis). Je sus pessimiste et est une très mauvaise opinion de moi-même sur mon comportement, mon physique… J’accumule les mauvaises habitudes: en m’habillant toujours en noir et aimant trop la solitude (je m’écarte des autres pour livre toute seul). J’ai arrêté ma passion: la guitard. J’ai même l’impression d’être parano en croyant qu’à chaque fois que je sors de chez moi tout le monde se moque de moi. J’ai parfois des pertes d’appétits mais beaucoup plus souvent des crises de boulimies et de sommeils avec un excessif stress. Enfin j’ai l’impression d’être déprécier de tous le monde. Mon plus gros problème comme je l’ai dit c’est d’en parler. Et tous ça à commencer à l’âge de 12ans (je ne vous cache pas que l’idée du suicide ma plus d’une fois traverser l’esprit). J’essaye de cacher ces sentiments honteux pour moi, à ma famille.
    Quelqu’un peut-il me dire s’il s’agit bien de dépression, et surtout si oui, de laquelle il s’agit? Merci.

  66. demande à Nathalie : ma mère (81 ans) est aussi dans votre cas grande dépression de 200 à 2005 et là, ayant de plus en plus d’hallucinations et d’envie de suicide, elle a jeté son traitement à la poubelle et est tombé progressivement dans une phase maniaque, hyper énergie, euphorie, beaucoup de dépenses mais plus pour offrir que pour elle etc…. Elle est retombée depuis mars dans la dépression , Hospitalisée d’urgence , elle va mieux sous dépamide mais cela reste comme avant son traitement valable un jour sur deux exactement et c’est terrible de la voir « normale  » en sachant que le lendemain rien n’ira et qu’elle sera même agressive sans le vouloir. Combien de comprimés penez-vous par jour pour arriver à stabiliser ? Elle en prends 5…
    merci

  67. bonjour chers lecteurs , je souffre d un trouble bipolaire , non mentionné ici dans cet article . Anciennement appelé psychose maniaco – dépressive , le sujet oscille entre des périodes dépressives et à l ‘opposé des états d ‘euphorie intenses .

    Dans mon cas , j ai vécu 4 épisodes dépressifs et 1 maniaque . Plusieurs combinaisons sont possible .
    J ai été hospitalisée 2 fois , une a ma demande et une en HDT ( hospitalisation a la demande d un tiers )

    Pendant l épisode maniaque , je délirais . Je me croyais une grande artiste , que j allais devenir célèbre ; Je dormais tres peu , a peine quelques heures , je gesticulais , j avais des hallucinations visuelles , auditives , olfactives, j étais emplie d une grande énergie , j étais joyeuse . Je pouvais passer du rire au larme dans la minute qui suivait , entretenir des discussions a ne plus en finir , des propos incohérents pour les autres . Bref un état dement .

    Je prends un traitement régulateur d humeur , le dépamide , et voit un psychiatre régulièrement .

    Je me permets de donner un conseil tres important et tres connu pour toutes les personnes prenant des médicaments : NE JAMAIS ARRETER UN TRAITEMENT OU NE JAMAIS PRENDRE DES ANTI DEPRESSEURS A LA LEGERE
    Il se peut que j ai déclenché moi meme une crise a cause de la mauvaise utilisation de médicaments .

    Bises a tous , il y a toujours une solution meme quand on se croit perdu .
    Nathalie .

  68. re bonjour je vou di a prpo de mon oncle il nest pas mort cest ma soeur ki sinvente des truc ilestdeprssive comme moi mais bon je ne le connai plus.

  69. J’ai 16 ans, et il y a quelques années, ma mère a plongé dans la dépression… Elle a tenté deux fois de se suicider, mais n’a heureusement pas réussi… Cette maladie est horrible, et assez mal connue… Ainsi, nous n’avons pas su quoi faire, comment réagir quand elle a sombré… On ne se rendait même pas compte de ce qui se passait, alors que si on avait connu les symptômes, elles ne serait peut-être pas allée aussi loin, aurait pu être soignée plus tôt… Je pense qu’il faudrait qu’on soit prévenus… Depuis quelques temps j’ai remarqué qu’on parlait plus cette maladie, mais il ne faut pas s’arrêter là ! C’est atroce de laisser des gens dans une telle situation, dans un si grand mal-être… Et pourtant, je n’ai pas réagit quand ma mère était malade… Comme Brigitte elle se sentait seule, se sentait partir et avait l’impression qu’elle ne s’en sortirait pas. Je me répète : on ne doit pas laisser des personnes dans cet état. Aujourd’hui encore je me sens impuissante face à cette maladie terrible qui peut ne pas se soigner…
    ça a été un grand traumatisme dans ma famille et nous nous sentons tous coupables… C’est effrayant de se dire qu’on a laissé quelque chose comme celà s’agraver sous nos yeux…

    Isha, ma mère a commencé à aller mieux à partir du moment où elle a été internée à l’hopital, et ainsi suivie tous les jours par des médecins… C’est une période dure à supporter, car on mène la vie dure aux hopitaux psy, mauvaise réputation, blagues douteuses…, mais si ça peut être une solution… Il n’y a rien eu de plus mauvais pour ma mère que de rester seule à la maison.
    La dépression, du côté des proches est très difficiles à vivre… On a peur tous les jours, on n’est jamais tranquilles… On se sent vite coupable dès que quelque chose arrive… Et on se sent impuissant…

    Je pensais qu’on n’allait jamais s’en sortir… Et aujourd’hui, malgré quelques coups de blues, elle va beaucoup mieux, bien qu’elle se fatigue vite. Elle mange normalement, a retrouvé ses liens affectifs avec tout son entourage et a repris son travail (à mi-temps cependant) et nous, son entourage, sommes vigilants… Bien que je soit l’enfant, je veille tout particulièrement sur elle… Même si c’est long et difficile au quotidien, il arrive qu’il y ait une fin à ce cauchemar !

    Je sais que je peux paraître jeune aux yeux de certains, et je n’ai peut-être pas eu un très bon jugement à propos de cette maladie… Mais je vous ai confié mon expérience, et j’espère qu’elle aidera certaines personnes…

  70. Bonjour tout le monde , mon ami souffre d’une dépression et le médecin lui a conseillé de faire une année blanche, et de prendre des anti-dépresseurs mais son état empire de jours en jours , j’ai lu que le soutien moral aide , mais je ne sais comment intervenir, ni quoi lui dire , ni comment le réconforter , s’il vous plait aidez moi , je veux qu’ils s’en sorte parce qu’il se fait des idées noires et j’ai peur qu’il se suicide, Aidez moi s’il vous plait !

  71. Pour brigitte, je vous invite à rejoindre une association proche de chez vous.
    Soit une association en lien avec la dépression ou soit une association sur une de vos passions.
    Le fait de parler avec d’autres personnes, le fait de communiquer est très important !
    Bon courage et ne baissez pas les bras !

  72. bonjour, j’ai fait une tentative de suicide sur mon lieu de travaille en novembre 2007;j’ai été suivie par des spécialistes jusqu’à ce que je déménage pour changer de région là du jours au lendemain plus de médecin;plus de spy; plus de traitement(ma famille à tout suprimer cela fait presque qu’un an et depuis j’ai toujours l’envie d’en finir ;il ne se passe pas un seul moment ou tout reviens en force j’ai essayé à plusieur reprises d’en parler à mon époux mais rien ,j’ai 49 ans et je suis àla recherche d’un emploi alors je fais bonne figure ;celà me fait peur je ne peu en parler à personne que dois je faire ;je sent bien que je m’enfonce de plus en plus ,aider moi svp

  73. mon mari souffre depuis plus de 20 ans de dépression majeure.Les ad,les thymo,les sismo n’ont eu aucun effets positifs.Actuellement en séances de stimulation magnétique transcraniénne,une personne a t-elle essayé ce nouveau taitement,et que penser du valdoxan.Merci de vos réponses.

  74. bonjour,
    je vais parler ici en temps que témoin. Mon mari à vécu la dépression et du coup toute ma famille à subi. C’est très difficile de se mettre à la place d’un dépressif, c’est très dur pour l’entourage aussi. Je pense qu’il faut absolument un traitement médicamenteux dans un premier temps (le corps ne fabrique plus la sérotonine, l’hormone de l’humeur et seul les médicaments peuvent aider dans un premier temps), ensuite un suivi psychologique (trouver un bon psy n’est pas chose facile, du moins un bon, il a pas mal cherché avant de trouver le bon, j’ai pas le temps de vous raconter mais certain n’ont rien à faire dans le métier), et enfin il faut un soutien sans faille des proches, être présent sans l’être, pas de reproche, pas de moral, je dis cela aujourd’hui mais dans les moments les plus dur, la séparation à failli avoir lieu, l’amour entre nous nous a beaucoup aidé.
    Aujourd’hui il a arrêté les médicaments, il n’est pas encore guéri. Mais il fait du yoga, il a fait aussi de la sophrologie pour l’aider aussi à surmonter ses vieux démons. J’ai changé notre façon de manger, c’est beaucoup plus équilibré, ont fais plus attention à tout.
    Courage pour tous ceux qui vivent cela en ce moment surtout que cette maladie est assez longue à guérir, mais il est possible d’en guérir.
    Et vous la famille ne baisser pas les bras.
    Pleins de bonnes pensées à vous
    et BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2010

  75. bonjour voila je fait une depression comment puisse ment sortir car je pleure je me replie tout seul dans un coin et j ai envie de me sucide car la vie j en n ais marre je ne parle plus a personne ny autour de mon entourage si personne m aide je prefere mourir et en finir une fois pour toute je demande un sos aider moi svp

  76. C’est exactement ça. Bravo pour les renseignements et les conseils.Je suis tut a fait d’accord :)

  77. J’ai fait une dépression. J’ai tenté de me suicider, mais malheureusement cà n’a pas marché. Aujourd’hui, je suis soignée par antidépresseur, anti-anxiété et somnifère. Cela ne suffit toujours pas à retrouver un sommeil réparateur. Ma fille est décédée d’un cancer à l’âge de 15 ans et j’apprends aujourd’hui que mon fils de 30 ans présente tous les signes relatifs à la maladie du SIDA. Comment réagir dans cette situation qui m’affecte cruellement. J’ai à nouveau envie d’en finir avec la vie. il n’est pas facile de reconstruire ce qui est détruit par une dépression. Les personnes en qui on pensent avoir confiance ne savent pas ce qu’est une dépression.

  78. je me reconnait actuellement je suis un traitement j ai eu beaucoups depreuves et une grande experience de la vie et des choses etonentes tres longt a raconte enfin dans tout les cas parfois nous somme obligez de passer par un traitement ne pas esite aussi cote spirituel important avoir de l espoire et etre bien entourer un grand philosophe egyptien 2 petit livres qui peuve aider titre le doute sur la foi et mon ami hate . bon courage et merci pour le site que je trouve parfait .

  79. En effet un site avec une approche claire et rapide des divers états dépressifs. J’ai retenu notament le cas de l’adolescent agressif qui cacherait en fait un état dépressif
    En revanche, les conseils pour sortir d’un état dépressif sont pour les biens portants. C’est-à-dire les personnes qui désirent aider une personne dépressive. Il manque peut-être le conseil essentiel qui est la preuve d’amour pour donner confiance à l’autre.

  80. Ce site est magnifique ,car tout est trés bien expliqué sur le sujet de la dépréssion.Message pour vous tout c vrai que la vie est dur surtout en ce moment ,mé il y a d’autre moyen de se faire plaisir, on perdu le sens du partage et d’autre valeur.On est devenue trop individualiste,materialiste et préssion au travail.Il faut vivre l’instant présent est de vivre avec des chose simple. the peace my world.

  81. je suis depuis quelque jours sur ce site tres enrichissant,et je me reconnais dans plusieur des cas,sous une forme de dépression,et le plus inquietant a mes yeux l’anorexie,j’en est parlé a personne a ce jour,j’ai peur d’abordé le sujet avec mon entourage,il me savent « Fragile » suite au décès de ma conpagne,je voudrais pas les inquieter

  82. Bravo pour ce site des plus intéressants. J’ai particulièrement aimé cet article où les différentes formes de dépressions ont été présentées ainsi que de l’aide. Bonne continuation!

  83. Vous êtes libre de poser vos questions sur la dépression chez l’homme et chez la femme, chez les jeunes et chez les personnes âgées.

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    Alexandre @ http://www.danger-sante.org