Un acide gras trans fait partie de la famille des acides gras insaturés.
Aux Etats-Unis, les acides gras trans sont considéré comme plus dangereux que les OGM pour la santé !
Le sujet est souvent évoqué au Canada également, qui a depuis quelques années déclaré la guerre aux graisses trans et a même publié des indications officielles pour faire baisser l’utilisation des graisses trans.
En 2007, le Canada a adopté une résolution pour interdire l’utilisation d’acides gras trans artificiels : interdiction d’avoir plus de 2% d’acide gras trans d’origine artificielle dans un produit, pour devenir le second pays après le Danemark a adopter une telle mesure.
La mention partiellement hydrogéné signifie que le produit contient des gras trans.
En France, le sujet commence juste à faire son apparition en 2007…
Les acides gras trans dans notre alimentation proviennent principalement de trois sources :
De la transformation bactérienne d’acides gras insaturés dans le « ventre » des ruminants.
Ces acides gras trans peuvent se retrouver par la suite dans les produits laitiers (beurre, crème, fromages, lait) et les viandes (bœuf, mouton, etc.)
De l’hydrogénation catalytique partielle et la désodorisation des huiles végétales insaturées (ou parfois des huiles de poisson) riches en acides gras polyinsaturés.
Lors d’une friture d’huile, ou d’un chauffage, même à assez basse température (huile de lin par exemple).
Ils se forment donc au cours du raffinage des huiles végétales du commerce, cette opération comprenant une étape de désodorisation par chauffage.
Les différents types d’acides gras :
Les acides gras polyinsaturés : de nombreuses huiles végétales (huile de soja, de maïs et de tournesol), les poissons gras (maquereau, éperlan, hareng et truite), les huiles de poisson, les graines de lin, les graines de tournesol, le soja et certaines noix renferment une forte proportion d’acides gras polyinsaturés.
Les acides gras monoinsaturés : l’huile d’olive, l’huile de canola, l’huile de tournesol à forte teneur en acide oléique, les avocats et certaines noix (cajoux, amandes et arachides, etc.) renferment une forte proportion d’acides gras monoinsaturés.
Les acides gras saturés : les huiles de coco, de palme, graisses animales, beurre, fromage et autres produits laitiers renferment une forte proportion d’acides gras saturés.
Les acides gras trans : on les trouve à l’état naturel en petites quantités dans certains aliments (produits laitiers, animal). De petites quantités de gras trans se forment au cours du raffinement des huiles végétales liquides, ainsi que lors du processus d’hydrogénation partielle qui transforme l’huile liquide en graisse semi-solide.
Les effets des acides gras trans ?
Les acides gras trans ont la même structure que les acides gras saturés, en conséquence, les effets qu’ils ont sur les membranes cellulaires sont les mêmes.
La plupart des tissus humains absorbent et incorporent les acides gras trans des aliments à des taux qui reflètent le régime alimentaire.
Leur conversion en énergie se produit à un taux à peu près semblable à celui des acides gras saturés, ce qui signifie qu’ils ne s’accumulent pas dans les tissus à des taux plus élevés que les autres gras.
L’acide gras trans peut aussi causer une augmentation du taux du mauvais cholestérol dans le sang mais ils ne le font pas généralement dans les mêmes proportions que les acides gras saturés. Les scientifiques n’ont pas encore découvert le mécanisme par lequel les gras trans élèvent le taux de cholestérol dans le sang.
Les acide gras trans élèvent aussi apparemment le taux de lipoprotéines, un facteur favorisant les maladies cardiaques.
Une étude sur la santé des infirmières menée à Boston, rapporte que les plus fortes consommations d’acides gras trans étaient associées à un plus grand risque de maladies coronaires. Cette étude a été sérieusement critiquée par un certain nombre de scientifiques.
Les gras trans risquent d’agir plus au moins comme les gras saturés pour ce qui est des effets provoqués sur les lipides du sang, il est important que le patient cardiaque connaisse la quantité des gras à la fois saturés et trans qu’il a consommé.
Malheureusement, les lois françaises actuelles régissant la liste des ingrédients utilisés d’un produit, n’exige pas que le contenu d’acides gras trans soit indiqué sur les étiquettes en France.
Les acides gras trans et les acides gras saturés sont mauvais pour la santé, car ils ont tendance à augmenter les risques de maladie du cœur.
Les dangers des acides gras trans :
Les gras trans ont deux effets qui accroissent le risque de maladie du cœur.
Ils augmentent le taux de mauvais cholestérol (lipoprotéines à faible densité) dans le sang.
Les lipoprotéines à faible densité constituent un facteur de risque de maladie du cœur.
Ils diminuent le taux de bon cholestérol (lipoprotéines à haute densité, HDL) dans le sang.
Les HDL protègent contre les maladies du cœur.
Les acides gras trans dans le monde :
En Europe, les groupes de protection des consommateurs font pression pour que les acides gras trans soient remplacés par des graisses non pathogènes et que par défaut, l’étiquetage des produits alimentaires mentionne la quantité des acides gras trans.
L’OMS préconise une consommation d’acides gras trans quotidienne n’excédant pas 1% de l’apport énergétique total quotidien et la communauté scientifique admet que moins nous ingérons d’acides gras trans autres que ceux naturellement présents dans les produits animaux, meilleur cela s’avère pour notre santé.
De nombreux procès aux Etats-Unis ont eu lieu contre les fast foods et différentes marques alimentaire qui utilise des acide gras trans.
Comment savoir si les aliments que nous mangeons possèdent des acides gras trans ?
Il suffit de lire l’étiquette (la composition) de votre produit, les acides gras trans sont en général décrits comme des huiles vegetales hydrogénées.
Nos conseils pour réduire les risques :
Consommer moins d’aliments contenant des acides gras trans.
Choisir des produits laitiers moins gras, des viandes plus maigres et des aliments préparés avec peu ou pas de gras.
Choisissez une margarine molle dont l’étiquette indique sans gras ou non hydrogénée.
Mangez moins de fritures. Lorsque vous en faites, utilisez des huiles à forte teneur en gras monoinsaturés.
Ne réutilisez pas les huiles plus de deux ou trois fois.
Au restaurant, informez-vous de la teneur en gras trans des aliments qui figurent au menu.
@Yves, J’ai bien peur que votre opinion ne prend pas en compte les récentes recherches qui démontrent que les graisses saturées ne sont pas dangereuses. Elles ont longtemps eu mauvaise réputation car elles augmentent le « mauvais cholesterol ». Maintenant, on sait que le mauvais cholesterol est formé de deux types de particules: les petites particules (très mauvaises: rigidifie les membranes, augmente les phénomènes inflamatoires) et les grandes particules (inofensives apparemment). Les graisses saturées sont responsables de la formation des grandes particules, le sucre et l’alcool sont responsables des petites particules. Bref, pas la peine de réduire les graisses saturées, surtout que notre corps en a besoin (même s’il peut en produire si il en manque). Les graisses trans sont quant à elles de plus en plus incriminées par la science. Donc bref, selon moi vous avez tout faux.
Non, le site n’est pas complètement léthargique : on y a fait sauter l’avis de Georges (5.12.2011), pourtant très juste, et, du même coup, ma réponse (28.1.2015) à Icelui. Je reprends donc, plus clairement.
RÉSUMÉ :
Bien plus que les »trans », ce sont les SATURÉS qui sont dangereux : promoteurs, entre autres choses, de cancers, excusez du peu.
Ce sont les industriels qui, comme Ami (14.12.2008), entretiennent la néfaste confusion entre les »trans » [notion compliquée (stéréochimique) généralement introduite par eux] et les saturés ; Georges avait tout à fait raison de ne pas vouloir « être pris pour un neuneu ». Je reprends donc son flambeau.
TEXTE :
Si ! »Ami », les consommateurs seraient TRÈS gênés par ta »solution » ultraNOCIVE (la saturation) d’un problème qui n’existe pas, les « trans ». En plus, je n’ai jamais vu d’article scientifique fichu de les incriminer efficacement (c’est-à-dire « toutes choses égales d’ailleurs »), ceux-là.
Dans ma réponse reconnaissante à Georges, je disais textuellement [et j’espère que, cette fois, cela ne sera pas écrasé car s’il y avait dû y avoir censure, c’aurait dû être d’Ami (tu parles, Charles) plutôt que de Georges et moi] :
« »Selon moi, l’alarmiste au sujet des »trans » sert aux industriels à camoufler le danger incontestable des S A T U R É S (cancérogènes et donc criminels) et à prétendre que la saturation (hydrogénation catalytique) sert à régler le prétendu « problème » des trans [qui, selon moi, sont en fait simplement inutilisables par nos enzymes physiologiques. En effet, les sites actifs des enzymes sont généralement situés au fond de cavernes. Il est donc vraisemblable qu’ils n’agissent que sur des acides gras pluriinsaturés coudés (cis-cis ou cis-cis-cis, un coude à chaque instauration, instauration que l’on appelle aussi double-liaison carbone-carbone, à vos souhaits)]. Les pauvres acides gras « trans » ne sont donc que bons à rien car ils ont avalé un sabre. Bien sûr, il ne faut pas qu’ils remplacent dans notre alimentation les « cis » indispensables, car, eux nous sont absolument nécessaires à raison de 12 à 13 g par jour (10 de diinsaturé et 2 à 3 de triinsaturés). » »
C’est très important. Pourquoi l’avoir effacé ? Sous quelle pression ? Ce déni d’information m’a échauffé la bile.
Je précise encore : 2 g/j en vitesse de croisière [pour éviter (c’est de la prévention première, la pire ennemie des industriels) une centaine de juteuses maladies dégénératives (appelées aussi « maladies de civilisation », tu parles Charles)], mais 3 g/j pour soigner (lentement mais efficacement, une soixantaine d’entre elles)].
J’ajoute que la saturation (par hydrogénation catalytique) fut refusée tenacement par les producteurs d’huile d’olive depuis 1945, d’où la grande réputation de celle-ci, et même le « french paradox », cette santé méditerranéenne insolente qui ahurit tant les américains. Il faudrait lui construire un monument de la part de la Patrie reconnaissante pour tous les saturés qu’elle a remplacés et les ennuis qu’elle nous a ainsi permis d’éviter car les lipides bas de gamme en question, coloniaux ou non, stockables indéfiniment sans soin, déforesteurs, éliminateurs, n’ont pas plus de valeur nutritive que l’huile de vaseline (dégrippe-tout) et sont au contraire des poisons lents (le crime profitant d’ailleurs aux mêmes, les industries dites « de santé » : prétendant ensuite nous « soigner » pharmacologiquement notamment contre le péril imaginaire, lui aussi, du cholestérol)..
Je terminerai par un SCOOP : des chiffres (contre les pédants qui nous prennent pour des neuneus, comme disait Georges, et veulent nous « en installer » pour leurs petits profits sans scrupules) :
À la différence des doubles-liaisons « trans » [toutes d’origine industrielle ou herbivore, ou résultant d’un chauffage de « cis » (d’ou la précaution ppfb, bio de première pression à froid) et qui donc ont avalé un sabre], les doubles-liaisons « cis » (toutes d’origine végétale et naturelle à froid) son coudées à 55°. Donc un acide gras cis-cis (diinsaturé) peut se mettre en forme de coin de 70° et les cis-cis-cis (triinsaturés) en forme de pointe de 15°. On oublie trop souvent que, cis ou trans, les doubles-liaisons carbone-carbone (insaturations) sont rigides, les 15 ou 14 autres liaisons (simples) carbone-carbone de l’acide gras essentiel (à 18 atomes de carbone, et indispensablement pluriinsaturé) étant, elles, en quelque sorte montées sur roulements à bille. C’est pour leurs 2 ou 3 insaturations que les pluriinsaturés sont irremplaçables (pour reconstruire, par polymérisation enzymatique, la dizaine de sortes de membranes de chacune des 200 sortes de cellules dont notre corps réforme un milliard par jour. Si nous ne lui donnons pas les pluriinsaturés nécessaires, notre organisme, jamais défaitiste, les récupérera, pollués [et de plus en plus pollués au gré des récupérations successives (d’où l’affaiblissement de notre système immunitaire et la mauvaise réputation de la vieillesse)], sur nos cellules mortes. Précisons que, en plus, les saturés consomment une fois et demi leur poids de pluriinsaturés pour leur seule digestion. Tout pour plaire, en somme, les saturés.
CONCLUSION :
Les « trans », ces innocents qui avouent sous la torture, sont montés en épingle par les industriels pour :
A) Masquer, comme ici, le danger principal, celui des SATURÉS (cancérogènes) ;
B) Miner la priorité que doit constituer leur exclusion systématique au profit des 10 +2-3 g/j de pluriinsaturés, ces persécutés digestifs ;
C) Réhabiliter la criminelle saturation (par hydrogénation catalytique) ;
D) Privilégier la consommation de graisses SATURÉES, juteuses pour eux malgré leur grande muti-nocivité à terme.
Cordialement.
Non, le site n’est pas complètement léthargique : on y a fait sauter l’avis de Georges (5.12.2011), pourtant très juste, et, du même coup, ma réponse (28.1.2015) à Icelui. Je reprends donc, plus clairement.
RÉSUMÉ :
Bien plus que les »trans », ce sont les SATURÉS qui sont dangereux : promoteurs, entre autres choses, de cancers, excusez du peu.
Ce sont les industriels qui, comme Ami (14.12.2008), entretiennent la néfaste confusion entre les »trans » [notion compliquée (stéréochimique) généralement introduite par eux] et les saturés ; Georges avait tout à fait raison de ne pas vouloir « être pris pour un neuneu ». Je reprends donc son flambeau.
TEXTE :
Si ! »Ami », les consommateurs seraient TRÈS gênés par ta »solution » ultraNOCIVE (la saturation) d’un problème qui n’existe pas, les « trans ». En plus, je n’ai jamais vu d’article scientifique fichu de les incriminer efficacement (c’est-à-dire « toutes choses égales d’ailleurs »), ceux-là.
Dans ma réponse reconnaissante à Georges, je disais textuellement [et j’espère que, cette fois, cela ne sera pas écrasé car s’il y avait dû y avoir censure, c’aurait dû être d’Ami (tu parles, Charles) plutôt que de Georges et moi] :
« »Selon moi, l’alarmiste au sujet des »trans » sert aux industriels à camoufler le danger incontestable des S A T U R É S (cancérogènes et donc criminels) et à prétendre que la saturation (hydrogénation catalytique) sert à régler le prétendu « problème » des trans [qui, selon moi, sont en fait simplement inutilisables par nos enzymes physiologiques. En effet, les sites actifs des enzymes sont généralement situés au fond de cavernes. Il est donc vraisemblable qu’ils n’agissent que sur des acides gras pluriinsaturés coudés (cis-cis ou cis-cis-cis, un coude à chaque instauration, instauration que l’on appelle aussi double-liaison carbone-carbone, à vos souhaits)]. Les pauvres acides gras « trans » ne sont donc que bons à rien car ils ont avalé un sabre. Bien sûr, il ne faut pas qu’ils remplacent dans notre alimentation les « cis » indispensables, car, eux nous sont absolument nécessaires à raison de 12 à 13 g par jour (10 de diinsaturé et 2 à 3 de triinsaturés). » »
C’est très important. Pourquoi l’avoir effacé ? Sous quelle
pression ? Ce déni d’information m’a échauffé la bile.
Je précise encore : 2 g/j en vitesse de croisière [pour éviter (c’est de la prévention première, la pire ennemie des industriels) une centaine de juteuses maladies dégénératives (appelées aussi « maladies de civilisation », tu parles, Charles)], mais 3 g/j pour soigner (lentement mais efficacement, une soixantaine d’entre elles)].
J’ajoute que la saturation (par hydrogénation catalytique) fut refusée tenacement par les producteurs d’huile d’olive depuis 1945, d’où la grande réputation de celle-ci, et même le « french paradox », cette santé méditerranéenne insolente qui ahurit tant les américains. Il faudrait lui construire un monument de la part de la Patrie reconnaissante pour tous les saturés qu’elle a remplacés et les ennuis qu’elle nous a ainsi permis d’éviter car les lipides bas de gamme en question, coloniaux ou non, stockables indéfiniment sans soin, déforesteurs, éliminateurs, n’ont pas plus de valeur nutritive que l’huile de vaseline (dégrippe-tout) et sont au contraire des poisons lents (le crime profitant d’ailleurs aux mêmes, les industries dites « de santé » : prétendant ensuite nous « soigner » pharmacologiquement notamment contre le péril imaginaire, lui aussi, du cholestérol)..
Je terminerai par un SCOOP : des chiffres (contre les pédants qui nous prennent pour des neuneus, comme disait Georges, et veulent nous « en installer » pour leurs petits profits sans scrupules) :
À la différence des doubles-liaisons « trans » [toutes d’origine industrielle ou herbivore, ou résultant d’un chauffage de « cis » (d’ou la précaution ppfb, bio de première pression à froid) et qui donc ont avalé un sabre], les doubles-liaisons « cis » (toutes d’origine végétale et naturelle à froid) son coudées à 55°. Donc un acide gras cis-cis (diinsaturé) peut se mettre en forme de coin de 70° et les cis-cis-cis (triinsaturés) en forme de pointe de 15°. On oublie trop souvent que, cis ou trans, les doubles-liaisons carbone-carbone (insaturations) sont rigides, les 15 ou 14 autres liaisons (simples) carbone-carbone de l’acide gras essentiel (à 18 atomes de carbone, et indispensablement pluriinsaturé) étant, elles, en quelque sorte montées sur roulements à bille. C’est pour leurs 2 ou 3 insaturations que les pluriinsaturés sont irremplaçables (pour reconstruire, par polymérisation enzymatique, la dizaine de sortes de membranes de chacune des 200 sortes de cellules dont notre corps réforme un milliard par jour. Si nous ne lui donnons pas les pluriinsaturés nécessaires, notre organisme, jamais défaitiste, les récupérera, pollués [et de plus en plus pollués au gré des récupérations successives (d’où l’affaiblissement de notre système immunitaire et la mauvaise réputation de la vieillesse)], sur nos cellules mortes. Précisons que, en plus, les saturés consomment une fois et demi leur poids de pluriinsaturés pour leur seule digestion. Tout pour plaire, en somme, les saturés.
CONCLUSION :
Les « trans », ces innocents qui avouent sous la torture, sont montés en épingle par les industriels pour :
A) Masquer, comme ici, le danger principal, celui des SATURÉS (cancérogènes) ;
B) Miner la priorité que doit constituer leur exclusion systématique au profit des 10 +2-3 g/j de pluriinsaturés, ces persécutés digestifs ;
C) Réhabiliter la criminelle saturation (par hydrogénation catalytique) ;
D) Privilégier la consommation de graisses SATURÉES, juteuses pour eux malgré leur grande muti-nocivité à terme.
Cordialement.
@7/Jean ; j’oubliais, ma tension d’ « hypertendu essentiel » a baissé de 2 points en haut et en bas en cuisant nos quelques rares bifteck non plus à l’huile d’olive mais à l’étouffée. Histoire ancienne car je n’ai plus ni hypertension ni médicaments grâce au truc tournesol-cameline.
Article non daté (21.4.2008 ?), inutilement compliqué (selon moi), et surtout un peu trop dupe des rideaux de fumée.
Les acides gras indispensables à l’Homme sont des pluriinsaturés. Tous les pluriinsaturés naturels sont de type « cis ». Si on les chauffe, ils prennent une sorte de tour de rein et deviennent de type « trans [leurs 2 ou 3 insaturations (ou doubles liaisons carbone-carbone) prennent une forme plutôt « chaise » au lieu de la forme, plutôt « bateau », des « cis »). Cette déformation irréversible les rend inutilisables par nos enzymes physiologiques, ce qui est grave car nous avons absolument besoin par jour de 10g d’acide cis-cis-linoléique et 2g (3 si maladie) d’acide cis-cic-cis-linolénique.
En résumé, « trans » = PLURIINSATURÉS C H A U F F É S, c- à-d. inutilisables.
Suivent, mes remarques sur l’article
•ligne4 ; Canada ? Bof, l’État qui a attaqué la France quand elle a (enfin !) interdit l’amiante (cancérogène).
•li. 16 ; non, pas insaturés mais pluriinsaturés.
•li. 43 ; pas dacc. sur « petites » quantités au cours du raffinage.
•li. 47 ; non, pas du tout.
•li. 48, 66 ; ce qui montre bien que l’épouvantail des « trans » est agité pour masquer les grands inconvénients des saturés et leurs propriétés promotrices du cancer.
• li. 50-54 ; idem + vagues considérations énergétiques complètement dépassées (à mon avis) comme les calories avec lesquelles on nous a bassiné pendant 60 ans en nous prenant pour des chaudière pour aboutir à une pandémie d’obésités).
• li. 56, 59, 78, 80 et 82 ; le cholestérol n’a jamais été qu’un argument de vente d’hypolipidémiants.
• li. 80 ; Les LDL, ligne de repli préparées à l’avance par les pharmas, ont cédé à leur tour. C’est du flan, excusez-moi. Lisez de Lorgeryl (CNRS) ou les Prs Even et Debré.
• li. 100 ; non, justemnt, ils ne sont jamais décrits comme « trans ». Mais vous avez raison toute huile végétale hydrogénée (catalytiquement et à chaud) contient des « trans ». Mais, souvent, l’on ne vous dit pas un mot des saturés, véritablement dangereux, eux. Et là, pas besoin d’étiquette, il y en dans tous les produits ou plats tout-préparés parce que peu chers et se conservent indéfiniment (sans rancir, à la différence des insaturés).
• li. 103 ; non, évitez toute margarine, même « oméga-3 » (on ne sait pas en faire qui contiennent moins de 50 % de lipides saturés).
• li. 105 ; non, si vous voulez bien vous porter, ne mangez plus de friture. Et n’en donnez pas à vos enfants (10 fois plus sensibles aux toxiques que les adultes).
Ceci dit, l’huile d’olive [75 % d’acide oléique (mono-insaturé) tient magistralement et de manière surprenante à la chaleur. D’où le « french paradox » qui sidère tant les américains]. De toute manière, « cis » ou « trans », l’acide oléique paraît peu métabolisable.
• li. 108, non, pour la même raison, n’y allez tout simplement pas (80 % se contentent de réchauffer des plats tout-préparés, donc à lipides saturés). Faites-vous des petits plats cuits (le moins possible) à l’étouffée (2c. à soupe d’eau), c’est bien plus succulent (une fois « dégrisé »).
@20/Jacquier ; très juste mais les ennemis principaux sont les saturés.
@19/Ferment ; ne comptez surtout pas sur un ministre. Uniquement sur votre esprit critique et celui des copains et copaines.
@6/Jean / Si vous avez le temps, lisez Kousmine (†1987) et Seignalet (†2005). Si vous n’avez pas le temps, appliquez bestialement le truc tournesol-cameline (1 vinaigrette à midi sur une crudité et 1 le soir dans une salade verte), passez-vous de saturés et cela s’arrangera. Tenez-moi au courant.
@3/Jean-Marie ; Zavez l’air ferré sur l’athérogénicité des « trans ». Moi, j’attends depuis dix ans un article la démontrant toutes choses égales par ailleurs. C’est vite fait de publier, beaucoup plus malaisé de séparer vraiment les paramètres.
@ Bien à vous tous, mais sans faire de bruit (car le site me semble dormir profondément).
chui etudiante et j cherche quel lieu de stage pouvez vous me proposee sur ce sujet comme un sujet de pfe wmerci d’avence
Je pense que pour être crédible c’est important de faire la différence entre la graisse de volaille et la graisse de porc par ex
Le problème n’est pas si simple !
Les lipides saturés sont athérogènes. Alors on nous recommande des acides gras insaturés. Pour les fabriquer, l’industriel part d’une huile (acides gras très insaturés) et y ajoute quelques atomes d’hydrogène. Les acides trans auraient des vertus culinaires, ils rendraient les biscuits plus croustillants…
Mais ils sont tout aussi athérogènes que les acides gras saturés, et seraient même toxiques pour le système circulatoire. Les pubs pour les OMEGA3 nous gavent du contraire.
Comment doser les trans dans un produit industriel ?
Où trouver une liste de produits avec leur teneur en trans ?
Tant qu’on n’entreprendra pas un recensement, avec désignation nominative des produits à éviter, on parlera dans le vide !
VRAIMEN c’est un article très interessant et illucide bien les consomateur bien que reste quelques hombre sur le sujet d la composition de produit alimentaires.
Il faut savoir que toutes les huiles hydrogénées, même « totalement », contiendront toujours une certaine proportion d’acides gras insaturés résiduels, donc TRANS. Car il s’agit d’un procédé industriel, économique, non d’un procédé de laboratoire qui viserait la pureté du produit (plus couteux).
tres compliqué pour manger equilibré j’ai eu une embolie pulmonaire et mon mauvais cholestérol est tres élevé je ne sais plus quoi manger
merci de m’éclairer
Franchement je suis contre tous ce qui est Trans.
Nous allons a l encontre de la nature, nous le payerons un jour
Mais parfois ces acides sont bons pour la santé, comme dans l’orange par exemple
et les margarines ?
« Il suffit de lire l’étiquette (la composition) de votre produit, les acides gras trans sont en général décrits comme des huiles vegetales hydrogénées. » Hum, si j’ai bon souvenir de mes cours de chimie, si l’huile est totalement hydrogénée, il ne reste plus de « trans » (qui est une liaison insaturée) ; donc il faudrait plutôt regarder les « huiles végétales partiellement hydrogénées », non?
merci pour ces ideés qui ns eclairent afin de diminuer le risque des complications après un certain age nos organes se fatiguent et surtout les glandes qui secretent des hormones elles provoquent un dysfonctionnement de tout un circuit organique du corps humain alors il faut combattre la cause du stress, controler l’alimentation pratiquer le sport ( marche , vélo ,ou autres) prendre ses médicaments régulierement et se preparer a un voyage car il y a tjs un début et une fin ?
Comment se fait-il que sur les produits bio est indiqué « Huile de palme » mais sans préciser si elle ou non hydrogénée. Est-ce normal ?
Je suis étonnée que beaucoup de produits bio utilisent l’huile de palme.J’ai beaucoup aié votre article, très intéressant qui nous apprend beaucoup de choses.
je ss pour cet article. Je pense qu’est bénifique et je remerci qui ont fait se sujet et salut.
Acide gras trans, c’est un grand danger pour la santé, personnellement j’en suis très convaincu. Si dans le monde ça ce discute, en Algérie pour la majorité des consommateurs ne sont même pas au courant.
Les acides gras trans sont produits principalement lors de l’hydrogénation PARTIELLE. Donc quand l’hydrogénation est TOTALE le problème disparait. D’un point de vue industriel il est trés facile de faire cela. Et comme cette hydrogènation a pour principal objectif de DURCIR les matières grasses ET de les rendre plus stables à chaud (friture) la solution finale serait de mélanger des huiles NON traitées avec une partie complètement hydrogénée afin d’obtenir le même résultat que l’hydrogénation partielle TOUT EN N’AYANT PAS d’acides gras trans.
En résumé ce problème a une solution TRES FACILE qui ne gênerait ni les industriels ni les consommateurs!!!
Attention, les « huiles hydrogénées » ne peuvent être des acides gras trans. Ce sont des acides gras saturés. En effet, lorsque la molécule est copplètement hydrogénée, il ne peut pas y avoir de double liaison donc la molécile ne peut être trans. Par contre, les acides gras trans se cachent derrière la mention « huiles partiellement hydrogénées » mais leur quantité peut être varaible !
En réponse à ferment :
Il est vrai que la question des acides gras alimentaire est une question qui soulève des enjeux financiers énormes.
A lire « Toxic » de William Reymond
http://www.amazon.fr/Toxic-Ob%C3%A9sit%C3%A9-malbouffe-maladie-coupables/dp/2080687638/ref=pd_bbs_sr_2?ie=UTF8&s=books&qid=1202123184&sr=8-2
Je suis surpris une fois de plus que le ministère de la santé Française, n’a pas jugé bon de supprimer ces produits. Faudra t’il un autre scanddal comme le sang contaminé ou le sida pour qu’elle réagisse? c’est la vie de nos enfants qui est en jeu dans tout çà, faut’il la sacrifier pour augmenter toujours plus les profits du capital? Pour ma part, j’ose espérer qu’il y aurra d’autre José BOVE, et que ceux qui comme vous qui nous informez des risques, vous attirerez l’ensemble des médias sur ces risque?
Cordialamnt.
M FERMENT.
j’ai difusé le lien de ce site a tous mes contacts en leur demandant de faire de meme afin de faire pression sur les industriels pour leur faire changer leur recette.Il faut que tout le monde le sache.Une chose n’est pas dite dans cet article, c’est, comment savoir si les aliments que nous mangeons on des acides gras trans.Il suffit de lire la composition de ce que vous achetez et de banir tous ceux qui ont des huiles vegetales hydrogénées.Faites passer l’info….Merci