L’association Robin des bois (et non robin des toits) présente les lampes à basse consommation comme « illégales« .
Certaines de ces lampes contiendrait du krypton 85 (un gaz radioactif d’une demi-vie de 10 ans) et également du thorium 232 (durée de demi-vie de 14 milliards d’années).
Le krypton 85 est un sous-produit de la fission nucléaire.
Ce sous-produit est commercialisé en France par l’entreprise Areva.
Le thorium 232 est extrait des terres rares par Rhodia dans le site saturé de déchets radioactifs de la ville de la Rochelle.
Cet extrait est aussi utilisé dans les phares de voitures, les projecteurs pour une scène et pour un terrain de sport, les espaces commerciaux, etc.
Les lampes à basse consommation vendues en France au public contiennent aussi des terres rares radioactives luminescentes.
L’organisme de récupération des lampes usagées souhaiterait à terme pouvoir les récupérer pour les revendre à Rhodia. En vertu des articles L133.1, R1333.2 et R1333.3 du Code de la Santé Publique, l’addition de radionucléides aux biens de consommation est interdite. Cette réglementation date de 2007 alors que les lampes visées par ce communiqué étaient déjà commercialisées.
Des demandes de dérogation doivent être présentées auprès du Ministère de l’Écologie, de l’Autorité de Sûreté Nucléaire. Il est aussi prévu qu’elles soient examinées par le Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire.
C’est seulement en 2009 que l’Autorité de Sûreté Nucléaire s’est saisie du dossier et a informé les fabricants de l’urgence à régulariser cette situation de non conformité.
C’est seulement aussi depuis quelques semaines que les producteurs de lampes réunis au sein de l’European Lamp Manufacturing Companies Federation (Philips, GE Lighting France, Osram, USHIO et Sylvania) ont présenté les premiers éléments d’un dossier qu’il reste à compléter.
Il n’est pas sûr que cette dérogation au terme d’une longue instruction sera acceptée.
C’est pourquoi l’association Robin des Bois demande aux français de s’informer sur les lieux de vente de la composition exacte des ampoules à basse consommation, de privilégier les modèles sans additifs radioactifs, en particulier sans krypton 85 ou autre gaz radioactif comme le prométhéum 147.
Source : http://www.robindesbois.org/communiques/radioactif/siteetdechet/2011/lampes_basse_consommation.html
Au niveau santé
L’innocuité (caractère de ce qui n’est pas toxique) de ces lampes en cas d’expositions multiples, rapprochées, répétées et de longue durée n’est pas prouvée.
Des situations accidentelles comme les bris, les incendies de domiciles privés, de super ou hypermarchés ou magasins de bricolage détenant des stocks importants de lampes radioactives neuves ou à recycler peuvent exposer les sauveteurs, les riverains et l’environnement à des risques méconnus.
Les lampes à basse consommation contiennent aussi du mercure
Pour mémoire, ce type de lampes contient aussi du mercure. Mercure + krypton 85 + thorium 232, les marchands de lumière artificielle sont très loin d’un concept écologique.
Ils prétendent participer ainsi à la réduction des émissions globales de CO2.
Ceci ne les autorise pas à mettre en danger l’environnement et la santé des ouvriers et du public par l’utilisation de toxiques chimiques et radioactifs.
Source : Communiqué de l’association Robin des bois
Jusqu’ou ira la betise ,? pour rester polie
moi je n’en ai jamais achete a vous de faire la meme chose
Pour se rassurer voir l’info suivante :
http://www.syndicat-eclairage.com/upload/declarations/83.pdf