Aujourd’hui, le cancer du sein est l’un des cancers pour lequel le taux de survie est le plus élevé, on guérit plus de 70% des cancers du sein. Ceci est dû en grande partie au dépistage précoce et aux importants progrès thérapeutiques issus de la recherche en cancérologie. Néanmoins, c’est le cancer féminin le plus fréquent. Avec 50 000 nouveaux cas par an, il se situe au 1er rang des décès par cancer chez la femme.
Il s’agit d’un véritable problème de santé publique dont l’ARC fait l’une de ses priorités.
Les attentes des malades en matière de recherche sont d’autant plus fortes qu’il s’agit de cancers du sein de mauvais pronostic. Le mauvais pronostic d’un cancer du sein peut être associé notamment au « type » de cancer du sein puisqu’il existe aujourd’hui une catégorie de cancer du sein dit « triple négatif » que l’on ne sait pas soigner. Le mauvais pronostic d’un cancer du sein peut aussi être associé au fait que ce cancer du sein est agressif et qu’il métastase. De même, lorsque la tumeur du patient « résiste » au traitement, l’efficacité de ce dernier est remis en cause et le pronostic du cancer est assombri.
Des progrès sont donc encore à réaliser afin de réduire la mortalité due à cette maladie. C’est pourquoi l’ARC, animée depuis toujours par la volonté de sauver des vies, finance des projets de recherche porteurs d’espoirs dans ces domaines.